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De Nicole Kidman à Madonna : les pires caprices de stars au Festival de Cannes

Folie des grandeurs

C’est une anecdote qui fait le tour de la Toile ces jours-ci : Nicole Kidman aurait eu une lubie cannoise tout sauf écologique. Alors qu’elle résidait au Carlton de Cannes, l’actrice australienne aurait exigé qu’on lui fasse parvenir 40 bouteilles d’eau minérale Evian. Le but ? Rincer ses cheveux pour les préserver au mieux de toute trace de chlore ou de calcaire. Dans les années 1990, Kim Basinger aurait d’ailleurs eu recours au même stratagème sur le plateau de I Dream of Africa. Toujours au Carlton, Spike Lee a vu rouge lorsqu’il a appris qu’il ne pourrait pas voir un match de basketball en direct. C’était en 1996 et il aurait pesté contre “ce pays de dégénérés qu’est la France” avant de menacer de quitter Cannes et son festival sur-le-champ. La Paramount a finalement cédé et lui a loué un faisceau satellite pour la retransmission du match. Coût du caprice ? 46.000 euros.

Le Festival de Cannes déroule son tapis rouge pour un Johnny Depp contesté

Du côté de l’hôtel Cap-Eden-Roc d’Antibes, on se souvient encore de la “note pharaonique” laissée par l’actrice française Carole Bouquet, maîtresse de cérémonie en 1995. Éternelle diva, Mariah Carey a quant à elle marqué la 67e édition du Festival de Cannes en réservant l’ensemble de l’espace première classe d’un avion pour son voyage. Un choix peu soucieux de l’empreinte carbone qui a coûté 85.000 euros à la chanteuse américaine. Une année, Eva Longoria a fait privatiser toute une boutique de chaussures de luxe pour faire son shopping au calme. Elle y aurait déboursé pas moins de 24.000 euros. En 2008, Madonna aurait été furieuse d’apprendre que l’hôtel dans lequel elle résidait sur la Croisette n’avait pas de salle de sport à sa disposition. L’établissement cannois aurait cédé aux désirs de la “Queen of Pop” et un équipement dernier cri aurait finalement été installé à la hâte pour la satisfaire. On se demande déjà ce que ce cru 2023 nous réserve…