L’importation de produits divers de nouveau autorisée en Algérie

Après une période prolongée de restrictions sur les importations en Algérie, voici qu’une décision majeure qui ouvre de nouvelles opportunités pour les importateurs du pays a été prise.

Ce mercredi, des acteurs du secteur économiques ont révélé qu’ils avaient obtenu des certificats de domiciliation bancaire leur permettant de reprendre les importations de produits divers, marquant un tournant décisif pour l’économie nationale.

L’Algérie réautorise l’importation de divers produits

Il y a deux ans, le gouvernement algérien a restreint de manière significative la liste des produits importés, dans le but de protéger les réserves de change et d’encourager la production locale. Cependant, cette décision a eu un impact notable sur les ménages, entraînant une pénurie sur de nombreux produits.

Cette nouvelle décision promet d’insuffler un souffle nouveau sur le paysage économique du pays. Ses caractéristiques incluent l’ouverture de l’importation pour les acteurs économiques, l’octroi de licences d’importation à ces derniers et la couverture de tous les produits peu ou pas disponibles sur le marché national.

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Parmi les informations clés divulguées, on note l’octroi de certificats de domiciliation pour les secteurs où la production nationale ne répond pas totalement au besoin, notamment ceux de l’industrie textile, des pièces de rechange pour les véhicules et des médicaments.

Cette mesure vise à garantir la disponibilité des produits en manque sur le marché national, elle est par ailleurs basée sur les conclusions d’une enquête économique menée par le ministère du Commerce.

Ouverture des importations : quels sont les produits concernés ?

Parmi les produits inclus dans cette nouvelle politique, on trouve des éléments aussi variés que les bananes, les ustensiles de cuisine, la quincaillerie, les produits de beauté, les vêtements, les chaussures, et bien d’autres.

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Il est à noter que la décision a été élaborée avec soin pour protéger la production nationale en excluant les produits fabriqués localement des éléments ouverts à l’importation. Cette mesure vise à maintenir la vitalité de l’industrie nationale tout en répondant aux besoins du marché. C’est un pas significatif vers la revitalisation du secteur économique en Algérie.