«La Suisse a compris qu’il vaut mieux être à la table des négociations que de mettre les bâtons dans les roues»
Le peuple suisse a accepté la réforme de la taxation des grandes entreprises, initiée par l’OCDE. Pour Pascal Saint-Amans, qui a piloté la réforme comme directeur du Centre de politique et d’administration fiscales de l’organisation basée à Paris, c’est l’aboutissement d’années de lutte contre les abus fiscaux des multinationales.
Ce contenu a été publié le 18 juin 2023
SWI swissinfo.ch certifiée par la Journalism Trust Initiative