Belgique

Georges-Louis Bouchez revient sur son départ de “Special Forces” et les critiques reçues : “Tout le monde aime voir les autres se planter…”

Sur les réseaux sociaux, les commentaires envers le chef des libéraux francophones pullulaient. “Comportement de diva” ou “Boulet pour l’équipe”, pouvait-on lire. “Nous vivons désormais dans un monde où tout le monde aime voir les autres se planter. Je trouve ça vraiment triste… Je n’étais tout simplement pas prêt, physiquement, pour cette épreuve. En tant qu’homme politique, je travaille tous les jours de 5h à 1h du matin. Je n’ai pas eu le temps de me préparer et je l’ai payé cash”, explique-t-il. Le politicien estime en revanche avoir eu de bons rapports avec ses coéquipiers le judoka Dirk Van Tichelt et Davy Parmentier malgré les commentaires négatifs.

Téléphone portable autorisé, porteurs de valises et autres rumeurs

J’avais un accord avec la production pour rester joignable. Je ne peux pas me permettre, vu ma fonction, d’être injoignable. Un assistant s’occupait donc de mes deux téléphones portables et me tenait informé des affaires urgentes”, confie-t-il alors que pour les autres participants, il était interdit d’avoir un téléphone avec soi.

D’autres rumeurs circulaient sur le libéral. Notamment le fait qu’il aurait bénéficié d’une personne qui portait ses valises. Georges-Louis Bouchez dément tout de suite la chose : “Allons allons… Je porte évidemment mes propres bagages. Je ne suis pas un fils à papa et j’ai toujours dû travailler pour y arriver. Ces rumeurs sont complètement ridicules.”

Le président du MR explique que sa participation à l’émission n’a rien avoir avec ses idées sur le dossier du nucléaire, sur l’emploi ou même encore la fiscalité.