Suisse

«Un non à l’impôt minimum de l’OCDE équivaudrait à se tirer une balle dans le pied»

Monika Ruehl est directrice d’economiesuisse, la faîtière des grandes entreprises. © Keystone / Peter Klaunzer

Voter oui à l’impôt minimum de l’OCDE sur les grandes entreprises, c’est s’assurer que les recettes fiscales supplémentaires promises par la réforme restent en Suisse, argumentent les partisans de l’objet soumis à la sagacité du peuple le 18 juin. Les explications de la directrice d’economiesuisse, Monika Rühl.

Ce contenu a été publié le 02 mai 2023




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