S’appuyant sur un décret promulgué par le chef de l’Etat, les ministères de l’intérieur et de la justice sont à l’origine de la majorité des plaintes déposées contre des citoyens critiques du régime. Visé par une plainte d’un fonctionnaire du ministère des affaires religieuses qui l’accuse d’atteinte à sa réputation, le journaliste Mohamed Boughalleb a été placé en garde à vue vendredi 22 mars au soir, dans l’attente d’être entendu par un juge d’instruction. Déjà sous le coup de plusieurs plaintes émanant du même ministère, il risque une peine pouvant aller jusqu’à dix ans de prison en vertu du décret-loi 54-2022. Ce
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