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Kev Adams répond à la polémique qui le vise: « Je ne suis pas le cerveau d’une arnaque quelconque »

Mais « Plush » n’a toujours pas vu le jour, un an après le lancement de la cagnotte. Mediapart affirme que 700 investisseurs ont « perdu plus d’un million d’euros dans le projet promu par Kev Adams ».

Cryptomonnaie, associé mystérieux… Kev Adams au coeur d’un scandale financier impliquant la perte de plusieurs millions d’euros

Ce dernier, qui n’avait pas souhaité s’exprimer auprès du média français, a finalement pris la parole sur les réseaux sociaux pour se défendre. « Vu l’ampleur de la polémique, il me paraît important de mettre les choses au clair », a écrit l’humoriste, expliquant en quoi il était lié à « Plush ». « En 2021, j’ai été contacté au sujet d’un projet de long-métrage d’animation participatif. L’idée était simple: je devais prêter ma voix à un dessin animé potentiel et en faire la promotion. Autrement dit: exercer mon métier. C’est tout ».

Kev Adams confie que l’idée lui plaisait, qu’il s’est assuré « du sérieux du projet » et qu’il se sentait en confiance. Mais il a compris par la suite que le projet était « trop ambitieux ». Il rappelle qu’il n’a été payé pour rien, et ne s’est engagé à rien.

« Contrairement à ce que certains articles font croire, je ne suis pas le cerveau d’une opération ou d’une arnaque quelconque. J’ai juste accepté de prêter ma voix à un film d’animation », conclut Kev Adams, qui juge que cette polémique remet en cause son intégrité.