horreur

Belgique

« Quelle horreur. Quelle honte », « l’apologie de crimes de guerre »: La situation au Proche-Orient échauffe la campagne communale à Bruxelles

Le local de campagne de la liste MR+ pour les élections communales à la Ville de Bruxelles a été vandalisé une nouvelle fois. Un slogan accusant -sur un mode interrogatif- les libéraux de soutenir un « génocide » des Palestiniens a été peint samedi sur la vitrine de la maison qu’ils occupent dans le quartier Dansaert. Un grand « A » anarchiste avait été tagué quelques jours plus tôt. …

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Suisse

Silence, menaces, épuisement: défendre les droits humains est une gageure en temps de guerre

Défendre les droits humains est encore plus difficile en temps de guerre, alors que les parties belligérantes font tout pour empêcher que les exactions commises ne soient rendues publiques. Comment travailler dans de telles conditions? swissinfo.ch a recueilli les témoignages de défenseuses des droits humains actives en Ukraine et en Israël. Le travail de défense des droits humains implique d’enquêter et de collecter des informations sur les violations de ces droits, mais aussi de sensibiliser l’opinion publique à cette question. Comment opèrent les défenseurs et défenseuses des droits humains en zones de guerre, ou dans des contextes où une grande partie de l’opinion leur est hostile? SWI swissinfo.ch a recueilli les témoignages d’une militante des droits humains ukrainienne et de deux militantes israéliennes, alors qu’elles étaient de passage à l’ONU à Genève. Difficile accès à l’information Les personnes engagées dans la défense des droits humains dépendent de leurs sources et …

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Suisse

Le chercheur qui vivait au sous-sol d’une école

Wilhelm Kaiser a renoncé durant 27 ans au confort et à la lumière du jour pour s’installer dans l’abri antiaérien de l’école cantonale de Soleure. Retour sur le parcours d’un homme énigmatique. Un long couloir dans le sous-sol d’une école. Il fait sombre. Reclus dans un abri antiaérien, un homme grand et maigre est penché sur un livre. Il vit ici, dort sur un lit de camp et se nourrit habituellement d’un plat de millet avec des épinards et des œufs cuits. Il ne peut sortir à l’air libre que lorsque les élèves ont quitté le bâtiment. La scène ressemble à un début de film d’horreur, mais elle a été la réalité de Wilhelm Kaiser durant 27 ans. C’est dans cet abri antiatomique sombre et sans fenêtre de l’école cantonale de Soleure que le chercheur a vécu de 1955 à 1983, entouré de ses écrits. «Là où sont mes œuvres, je peux être moi aussi. Et si je suis là, alors mon œuvre l’est aussi.» C’est en substance ce que s’est probablement dit Wilhelm Kaiser, écrit Rolf Weber, qui s’est penché …

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