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Belmadi de retour au Qatar pour rebondir ?

Et si Djamel Belmadi retournait à Al-Duhaïl pour rebondir ? Aux dernières nouvelles, le club qatari songerait à récupérer son ex-entraineur.

Malgré le grand échec lors de la CAN-2023, Djamel Belmadi est un entraineur qui attise les convoitises. Certes, il n’a pas encore résilié son contrat avec la fédération algérienne de football, mais plusieurs clubs voudraient l’engager.

Visiblement, le désormais ex-sélectionneur national a toujours de la côte au Qatar. En effet, un club qatari s’intéresserait à lui. Selon le média local « Al-Raya », Al-Duhaïl songerait à récupérer le technicien franco-algérien de 48 ans pour remplacer le Français Sébastien Galtier.

Pour le moment, il n’y a rien de concret. Reste à savoir maintenant si les responsables du club qatari vont entamer les négociations avec le concerné dans les jours à venir. Apparemment, Belmadi ne pense pas, pour le moment, où il va rebondir, tant qu’il n’a pas encore résilié son contrat qui le lie à la FAF.

Rappelons que Djamel Belmadi a déjà entrainé Al-Duhaïl lors de la saison 2017-2018. Club avec lequel il avait remporté un triplé historique. Ce fut sa dernière station au Qatar avant d’entrainer l’équipe d’Algérie à partir d’août 2018.

Belmadi a-t-il accepté de résilier son contrat à l’amiable ?

Jusqu’au moment où nous mettons sous presse, Djamel Belmadi n’a toujours pas résilié le contrat qui le lie à la fédération algérienne de football. Certes, il avait annoncé son départ juste après l’élimination de la CAN-2023 et s’était même mis d’accord avec Walid Sadi, à Bouaké, pour une séparation à l’amiable. Mais comme ce dernier s’est précipité pour annoncer la nouvelle, cela n’a pas été du gout du coach qui avait changé d’avis en refusant de partir.

Après un échange de correspondances entre les deux parties, nous avons appris que Belmadi pourrait céder. En effet, son entourage l’a conseillé de résilier son contrat à l’amiable et ne pas aller s’en plaindre à la FIFA. Il va percevoir trois mensualités comme indemnité, soit une valeur de plus de 600.000 euros, en attendant que le divorce soit acté incessamment.