El Barrani : le nouveau drame algérien qui promet de cartonner ce Ramadan 2024
Echorouk TV se prépare à diffuser une nouvelle série prometteuse pour le Ramadan 2024, signée du réalisateur à succès Yahia Mouzahem, l’homme derrière l’inoubliable « Edamma » qui a cartonné l’année dernière : El Barrani.
Fidèle au proverbe « on ne change pas une équipe qui gagne »,Yahya Mezahem a reconduit le casting gagnant de sa dernière série pour son nouveau projet « El Barrani ». Parmi les têtes d’affiche, nous retrouvons les incontournables :
- Mestafa Laribi, dont le charisme et le talent ont marqué nos écrans l’an passé.
- Aida Ababsa, la grande dame de la scène artistique, dont la présence est toujours un gage de qualité.
- Karim Derradji, un acteur polyvalent qui réussit toujours captiver le public.
- Hana Mansour, dont l’authenticité ne laisse personne indifférent.
Le talent indéniable des acteurs et leur complicité, déjà visible dans la série Edamma, garantissent des performances de haut niveau et une immersion totale dans l’univers de la série. Mais ce n’est pas tout ! La série accueille également de nouveaux visages prometteurs.
En effet, l’apparition de l’instagrameuse Yamna sur l’affiche officielle de la série « El Barrani » a créé une agréable surprise auprès de ses abonnées. Son charme envoûtant et sa fraîcheur promettent d’apporter une nouvelle dimension à la série.
De plus, tout comme le réalisateur Yahia Mouzahem, Yamna est profondément attachée à sa culture algérienne et à son patrimoine algérois.
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Les actrices aux multiples talents Mina Lechtar et Yasmine Ammari sauront également nous émouvoir et nous surprendre. Pour couronner le tout, le brillant Khaled Benaissa, qui a incarné Larbi Ben M’hidi dans le film éponyme, saura certainement apporter sa profondeur au projet.
De succès en succès… qui est Yahia Mouzahem ?
De Timoucha à Edamma, en passant par La Main de Meriem primée en Jordanie, Yahia Mouzahem s’est imposé comme une figure incontournable du drame algérien.
Ce qui distingue vraiment ce réalisateur, c’est qu’il n’a jamais cessé de questionner l’identité et la société de son pays. Son engagement se manifeste une fois de plus à travers son intention de revenir au « vieux drame lourd », un style ancré dans la réalité et les préoccupations du peuple algérien.
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Animé d’une volonté farouche de renouer avec ses racines, Mouzahem s’affirme comme un fervent défenseur de la transmission de l’identité algérienne. Son ambition est claire : faire de ses œuvres un miroir authentique de la société, captant ses nuances, ses complexités et ses aspirations.
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