Algérie

Partenariat algéro-qatari : du nouveau pour l’usine de lait en poudre Baladna d’Adrar

Ce dimanche, à Alger, le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki, a accueilli Ali Al Ali, conseiller au conseil d’administration de l’entreprise qatarie « Baladna ». Cette rencontre, annoncée dans un communiqué du ministère, s’inscrit dans le cadre d’un projet commun d’envergure entre l’Algérie et le Qatar : la production de lait en poudre dans la wilaya d’Adrar.

L’Algérie et le Qatar s’allient pour un projet de production de lait en poudre à Adrar

Le communiqué précise que cette réunion a pour objectif principal de finaliser les préparatifs en vue du lancement de ce projet ambitieux. Ce partenariat algéro-qatari vise à renforcer l’industrie laitière locale en Algérie, tout en réduisant la dépendance du pays aux importations de lait. La région d’Adrar, réputée pour ses vastes terres agricoles et ses conditions climatiques favorables, accueillera cette initiative stratégique.

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Lors de cette rencontre, le ministre Triki a réitéré l’engagement de son département à accompagner ce projet, en mettant à disposition les infrastructures nécessaires en matière de télécommunications. Il a affirmé que les entreprises relevant de son secteur sont prêtes à offrir un soutien optimal pour garantir une connectivité de haute qualité. Le projet utilisera les réseaux de télécommunication, qu’ils soient fixes, mobiles ou satellitaires, pour faciliter son développement.

La technologie mise en avant

Le ministre a également mis en avant l’importance des solutions technologiques qui seront mises en place pour permettre une gestion moderne et efficace du projet. Cela inclura l’utilisation des dernières innovations dans le domaine des télécommunications, afin de garantir une productivité optimale et une gestion facilitée des ressources.

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Ce partenariat algéro-qatari s’inscrit dans une vision plus large de diversification économique en Algérie, avec un accent particulier sur l’agriculture et les industries de transformation. Il témoigne également de l’intérêt croissant des investisseurs étrangers pour le potentiel de développement économique dans les régions du sud du pays.