Arrivée à Tunis du deuxième groupe de participants tunisiens de la flottille Sou_moud.
Quinze citoyens tunisiens, membres de la flottille internationale “Soumoud”, sont arrivés cet après-midi à l’aéroport international Tunis-Carthage, après avoir été libérés et expulsés par les autorités d’occupation sio_nis_tes. Tous les membres de la flot_tille Sou_moud avaient été interceptés puis arrêtés par les forces sio_nis_te les 1er et 2 octobre 2025, alors qu’ils tentaient pacifiquement de briser le blocus imposé à la bande de Ga_za.
Quinze citoyens tunisiens, membres de la flottille internationale “Soumoud”, sont arrivés cet après-midi à l’aéroport international Tunis-Carthage, après avoir été libérés et expulsés par les autorités d’occupation sionistes. Leur rapatriement a eu lieu via la Jordanie, après leur passage par le pont du Roi Hussein, mardi matin.
Parmi les personnes accueillies se trouvent : Syrine Gharairi, Fidaa Othmani, Mohab Sanoussi, Mazen Abdel Laoui, Louay Charni, Khalil Habibi, Achraf Khoja, Jihad Ferjani, Nabil Chennoufi, Mohamed Amine Hamzaoui, Yassine Kaaidi, Wael Nouar, Ghassen Hnachiri, Ghassen Klaïi et Mohamed Ali.
À leur arrivée, ces citoyens ont été accueillis par des centaines de personnes, proches, militants et membres de la société civile, venus exprimer leur solidarité et leur fierté, dans une ambiance empreinte d’émotion, avec des chants, des drapeaux tunisiens et palestiniens, et des slogans en faveur de la liberté pour Gaza et de la justice pour la Palestine.
Il convient de rappeler que tous les membres de la flottille Soumoud avaient été interceptés puis arrêtés par les forces sionistes les 1er et 2 octobre 2025, alors qu’ils tentaient pacifiquement de briser le blocus imposé à la bande de Gaza. Ils avaient été transférés dans le centre de détention de Ketziot, situé dans le désert du Néguev, avant d’être libérés par vagues successives depuis la fin de la semaine dernière. Cette flottille, soutenue par un collectif international de militants pour les droits humains, visait à dénoncer le siège illégal de Gaza et à transmettre un message de solidarité internationale à la population palestinienne.

