Un documentaire de trois heures sur la vie intérieure de l’un des plus grands zoos du monde a été présenté en avant-première à Berlin. Son réalisateur, Romuald Karmakar, explique pourquoi il a détourné son regard des guerres et de la musique techno pour le porter sur les animaux en cage. Loin des manifestations politiques chaotiques et de l’effervescence du tapis rouge de la Berlinale, le Festival international du film de Berlin, une première particulière, plus discrète, a eu lieu en marge de l’événement en février dernier. Les 600 sièges de l’opulent Delphi Film Palast, un grand cinéma d’art et d’essai reconstruit en 1949 lors de la renaissance de la ville après la guerre, ont vite trouvé preneur. Malgré l’absence de stars lors de la projection et dans le film lui-même, l’atmosphère qui régnait dans la salle laissait présager une grande attente du public. The Invisible Zoo de Romuald Karmakar était sur le point d’être présenté en première mondiale. Ce documentaire de trois …
Read More