Sport

US Open : « Franchement, c’est pas terrible »… La nouvelle coupe de cheveux (ratée) d’Alcaraz fait marrer tout le monde

Carlos Alcaraz a le sens de la famille. Trop, peut-être. Alors que les joueurs disposent de tout un tas de services à leur disposition en marge des tournois du Grand Chelem (massage, coiffure, tatouage, etc), le numéro 2 mondial a laissé son frère s’occuper de sa coupe de cheveux et le résultat n’est pas franchement au rendez-vous, à moins d’aimer le look bad boy dans GTA. L’Espagnol est en effet apparu avec la boule à zéro ou presque, sans qu’on sente une volonté réelle au départ d’en arriver à ce résultat-là.

Son ami Frances Tiafoe, qui l’a croisé dans les couloirs de Flushing Meadows en début de semaine, n’en croyait pas ses yeux et ne pouvait détourner le regard du crâne du Murcien. Il en a également parlé en conférence de presse, lundi : « Je l’ai regardé et j’ai pensé : « Je suppose que tu es aérodynamique ». Juan Carlos Ferrero (l’entraîneur d’Alcaraz) riait. Il a dit : « Oui, il est plus rapide qu’avant. » Je ne sais pas qui lui a dit de faire ça mais c’est terrible. C’est Carlos, c’est mon gars, mais faut qu’il aille chez le coiffeur avec moi plutôt. »

Le public valide le look gangster

Un sujet qui est forcément revenu sur le tapis au moment où Carlos Alcaraz s’est à son tour pointé devant les médias, après sa victoire au premier tour contre le géant américain Reilly Opelka. « J’avais l’impression que mes cheveux étaient vraiment longs. Avant le tournoi, je voulais aller chez le coiffeur. Mon frère a mal compris comment marchait la tondeuse. Il a coupé et la seule façon de rattraper ça, c’était de tout raser. Franchement, c’est pas terrible… mais c’est pas si mal non plus je suppose », a-t-il rigolé.

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Et au pire, comme il le dit, ce ne sont que des cheveux. « Je suis plutôt du genre à me dire : « Bon, les cheveux, ça repousse », et dans quelques jours ça ira mieux », a-t-il philosophé. Après son succès contre Opelka, Alcaraz a préféré tourner ça en dérision en demandant au public ce qu’il en pensait et, vu les ovations, l’Espagnol en est arrivé à la conclusion que ce n’était finalement pas si dégueu que ça. Ou alors ils ne voulaient pas le vexer.