« Qui veut être mon associé ? » : Tony Parker se défend de n’avoir pas honoré une promesse d’investissement

Qui veut être son associé, mais pas trop, non plus. Dans la tourmente après la publication au début du mois de mars, par Radio France, d’une vaste enquête sur sa vie de businessman, Tony Parker est revenu dans L’Equipe sur la polémique autour de l’émission de M6 « Qui veut être mon associé ? », dont il fait partie du jury de la saison 4. Une candidate accuse notamment le président de l’Asvel de ne pas avoir versé les 200.000 euros qu’il lui avait promis pour s’octroyer les parts de son entreprise.
« Le montant est inexact, 100 000, pas 200 000, corrige d’abord Tony Parker. Nous étions deux, moi et Marc Simoncini. Ensuite, tes « promesses », basées sur une rencontre d’une demi-heure avec des personnes que tu ne connais pas, restent liées à des vérifications ultérieures. Si tu découvres que le pitch n’est pas fidèle ou honnête – par exemple qu’une société est endettée – ou que tu changes d’avis, d’un côté comme de l’autre, tu peux renoncer. En l’occurrence, nous avons décidé ensemble de ne pas y aller. Je ne vois pas pourquoi cela a pris une telle ampleur. »
TP regrette des « choses sorties de leur contexte »
L’enquête de Radio France indique par ailleurs que la candidate en question avait mené une investigation auprès d’autres personnes qui avaient eu les faveurs de TP l’entrepreneur. Elle assurait avoir découvert que pour « une dizaine d’entre elles, ça s’était très mal passé, qu’il n’y avait pas eu les investissements promis, ou une attente très longue et toujours rien […]. Il y a eu vraiment un gros problème de gestion des investissements de la part de l’équipe de Tony Parker ».
« J’ai le sentiment que certaines choses ont été sorties de leur contexte ou exagérées, regrette Tony Parker. Et j’aurais aimé que mes réponses apparaissent autrement qu’en fin d’article via un lien que peu iront consulter. » Désolé, Tony…