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MC Alger : Bencheikh accusé d’ingérence, il répond

Ali Benchikh fait l’objet des accusations à cause des rumeurs balancées dans l’entourage du Mouloudia. Le consultant d’El-Heddaf TV dément toutes les rumeurs.

D’emblée, il affirme qu’il n’a jamais demandé un poste au MCA. Certes, il entretient de très bonnes relations avec le président Mohamed Hakim Hadj-Redjem, mais il n’est absolument pas intéressé de travailler au club du cœur.

« J’espère que ce sera la dernière de parler sur ce sujet, je ne suis pas un demandeur d’emploi. J’entretiens d’excellentes relations avec le président du Mouloudia Hadj-Redjem. C’est plutôt lui qui m’a proposé un poste, mais j’ai décliné poliment l’offre car je veux travailler dans un entourage qui me convient », a-t-il précisé.

Et d’ajouter : « Certains rapaces ne cessent de m’endosser de telles rumeurs. Moi, j’aime le Mouloudia, et non pas les personnes. Je ne suis pas un hypocrite et je dis les choses telles comme elles sont ».

« Je n’ai jamais voulu imposer des joueurs »

Ali Benchikh est également accusé de vouloir imposer des joueurs au Mouloudia. Il saisit l’occasion pour démentir formellement cette rumeur.

« Je n’ai jamais voulu imposer des joueurs au Mouloudia. En étant un ancien footballeur, je donne juste mon avis, comme je le fais sur le plateau. Si c’est le cas, alors je m’en serais pris au président sur le plateau, comme le font certains, juste pour régler leurs intérêts personnels », a-t-il indiqué.

Benchikh voulait-il imposer le maintien de Belaïli ?

Enfin, l’ancien milieu de terrain du Mouloudia nie avoir voulu imposer le maintien de Youcef Belaïli. Ce dernier, avait quitté, rappelons-le, le Doyen l’été dernier vers l’Espérance de Tunisie, suite à un différend avec le président Hadj-Redjem.

« Faux, je n’ai jamais voulu imposer le maintien de Belaïli. Hadj-Redjem est toujours en vie, vous pouvez aller lui poser la question. C’est un excellent joueur que j’aurais souhaité le voir poursuivre l’aventure avec le Mouloudia. Mais le destin en a voulu autrement, bon vent à lui », s’est-il défendu.