Football : Thierry Henry juge que Zidane « mérite » de succéder à Deschamps à la tête des Bleus

Alors que la place ne sera disponible qu’après la Coupe du monde 2026, Thierry Henry a déjà son candidat pour la tête de l’équipe de France de football. La légende d’Arsenal a ainsi estimé mardi dans un entretien sur RMC que Zinédine Zidane « méritait » de succéder au sélectionneur Didier Deschamps qui vient d’annoncer le calendrier de son départ.

« Ça a été longtemps ce que tout le monde pensait et demandait. Ce serait mérité tout simplement », a déclaré Thierry Henry, invité de l’émission « Rothen s’enflamme ».

« ZZ » reste muet

Libre depuis son départ du Real Madrid, l’ancien meneur de jeu est régulièrement cité comme l’un des favoris pour prendre la suite de son ancien coéquipier à la tête des Bleus. Mais depuis cette annonce, l’icône du foot français qui a toujours clamé son appétit pour le poste par le passé, ne s’est toujours pas prononcée sur ses intentions. Le monde du foot hexagonal guette avec fébrilité l’éventuelle annonce de « ZZ », lui qui est auréolé par une jeune carrière d’entraîneur à succès avec notamment trois sacres en Ligue des champions glanés avec le Real Madrid (2016, 2017, 2018).

Également libre de tout engagement après son départ de la sélection olympique, avec laquelle il a atteint la finale (défaite 2-1 contre l’Espagne), Thierry Henry ne manque pas de partisans et fait désormais partie des successeurs potentiels de Didier Deschamps. Interrogé sur son intention de postuler pour le poste, il a botté en touche, se bornant à renvoyer la balle au président de la FFF. « Je ne peux pas vous répondre… Vous savez que je ne vais pas vous répondre, je ne m’appelle pas monsieur Diallo (président de la FFF) », a-t-il commenté.

Franck Haise voit aussi son nom avancé

Outre « Zizou » et Thierry Henry, l’autre entraîneur cité comme potentiellement capable de succéder à Deschamps est Franck Haise, actuellement en poste à Nice. Mais pour le moment, ce dernier s’est dit « supporter » de Zidane, jugeant l’arrivée du Ballon d’or 1998 comme « une vraie évidence ».

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En attendant, les Bleus de Didier Deschamps disputeront les 20 et 23 mars contre la Croatie une place pour un éventuel « Final Four » de Ligue des nations en juin avant les qualifications pour le Mondial nord-américain.