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Taylor Swift demande une ordonnance restrictive contre un homme qui prétend qu’elle est la mère de son enfant

La célébrité s’accompagne parfois de faits divers aussi surprenants qu’effrayants, et Taylor Swift n’en fait pas exception ! La chanteuse de Cruel Summer a demandé vendredi dernier une ordonnance restrictive contre un homme originaire du Colorado, qui se serait inventé de nombreux liens avec elle.

Selon des documents juridiques consultés par Page Six, Taylor Swift reproche à Brian Jason Wagner d’avoir fait « diverses déclarations sur le fait qu’il vivait dans ma propriété », tout en affirmant « qu’il avait une relation avec moi », « qu’il croyait que j’étais la mère de son fils » et qu’il « avait besoin de me voir en personne ». Sa demande précise que « toutes ces affirmations sont fausses et déconnectées de la réalité ».

Crainte d’un « danger imminent »

Or, l’homme ne se serait pas arrêté à de simples affirmations, se présentant plusieurs fois au domicile de la chanteuse de Los Angeles l’an dernier. Il aurait même une fois été aperçu avec une bouteille dans les mains, « qui aurait pu être utilisée en tant qu’arme » comme le précisent les documents de la requête. Brian Jason Wagner aurait répété ce geste en mai dernier, affirmant « être là pour voir une amie (encore une fois, c’est totalement faux) ».

L’équipe de sécurité de la chanteuse de Fortnight a découvert plus tard que l’homme avait effectué un séjour en prison durant lequel il aurait rédigé de longues lettres faisant part de son engouement pour la star de 35 ans, avec qui il prétendait avoir eu « une relation amoureuse (qui n’a pas eu lieu), ainsi que d’autres histoires inventées de toutes pièces sur son implication dans sa vie personnelle ».

Brian Jason Wagner aurait également menacé le personnel de la pop star, indiqué son adresse californienne sur son permis de conduire et tenté de recevoir son courrier chez lui. Autant de mesures qui ont fait craindre à la compagne de Travis Kelce un « danger imminent » et lui ont valu la validation de sa demande d’ordonnance restrictive jusqu’au 30 juin.