SZA s’en prend aux « bodyshamers » après un commentaire sur son « Brazilian Butt Lift »
SZA en a assez des critiques sur son physique. La chanteuse américaine, de son vrai nom Solána Imani Rowe, a répondu à un commentaire négatif sous une vidéo sur X – depuis supprimée – d’un fan reprenant des images d’elle lors de la pandémie de Covid-19. « Cette époque me manque tellement », pouvait-on lire dans la légende. En commentaires, un autre fan a rétorqué : « aka avant qu’elle ne devienne imposante et intégrée à la culture bbl », faisant référence au Brazilian Butt Lift, une chirurgie esthétique du fessier.
Blessée, la chanteuse de Kill Bill a répondu hier que ce type de commentaires était la véritable raison derrière sa prise de distance avec le public en marge de son succès ces dernières années. « Vous dites tous des trucs bizarres comme ça et vous vous demandez pourquoi je suis différente et je ne me sens plus à l’aise avec vous. Lol », a-t-elle déclaré, avant d’ajouter : « Et je veux dire différente dans le sens où je ne fais plus de live et je ne communique plus avec vous comme ça (sic), pas différente dans le sens où je change d’apparence (sic) ».
Une période difficile
D’autant plus que la chanteuse de 35 ans a traversé la pandémie avec difficulté. « Le Covid, c’était dur… ma grand-mère venait de mourir… J’étais très déprimée et je me masquais. Je ne mangeais pas. Je faisais trop d’exercice », s’est-elle remémoré plus tard. « Mais j’ai toujours eu la maison de mon enfance pour me réfugier. C’est toujours le cas. Je suis reconnaissante d’être dans un bien meilleur état d’esprit aujourd’hui ».
La star de RnB a néanmoins reconnu avoir effectué en 2022 un Brazilian Butt Lift, qu’elle a vite regretté. « Je suis tellement dégoûtée d’avoir fait cette merde », a-t-elle déclaré le mois dernier au British Vogue. « J’ai pris tout ce poids parce que j’étais immobile pendant ma convalescence et que j’essayais de conserver la graisse. C’était vraiment stupide ». L’expérience lui aura au moins appris qu’elle n’avait pas « tant eu besoin » de cette procédure et que sa « santé mentale » nécessitait plus d’attention.