Sophie Davant en colère contre les femmes qui critiquent ses tenues dans « Danse avec les stars »
Sophie Davant a dû mettre un terme à l’aventure Danse avec les stars sur TF1 après son élimination la semaine dernière. L’heure est donc au bilan pour la compagne de William Leymergie, dont l’annonce de la participation avait surpris nombre de téléspectateurs. Mais la journaliste de 61 ans a apprécié ce challenge, qu’elle aurait même aimé prolonger « un peu ». C’était toutefois sans compter les critiques de quelques téléspectatrices.
« J’ai quand même à cœur de dire quelque chose que j’ai trouvé violent et décevant », a-t-elle déclaré hier au micro d’Europe 1. « J’ai eu pas mal de critiques de la part de femmes qui m’ont reproché de porter des tenues trop courtes et trop près du corps à mon âge ». Des remarques qui ont « déçu » la sexagénaire, qui aurait déjà été témoin de telles critiques féminines affectant la « cause des femmes ». « Je suis quand même désolée et déçue de constater une fois de plus que ce sont les femmes qui font régresser la cause femmes ».
« J’ai joué le jeu »
À l’inverse, la présentatrice souhaitait inspirer ses consœurs avec des sentiments de « sororité » et une volonté de « faire du sport, de se bouger et d’aller au bout de ses envies » par le biais de cette compétition ultra-sportive et compétitive. Mais ses espoirs ont été douchés par certaines d’entre elles. « Ça m’a interpellée une fois de plus », a-t-elle déploré. Sophie Davant a toutefois noté que le ton des commentaires « après la deuxième danse » en hommage à sa mère décédée avait changé, notamment grâce à l’« émotion » et à sa tenue plus longue pour l’occasion.
« J’étais plus à mon affaire en robe de princesse sur une chanson de Céline Dion que sur une samba ou une salsa », a-t-elle noté. « À mon âge, évidemment que je préférais avoir une robe longue qui recouvrait tout que d’être en franges courtes sur mes cuisses, mais en acceptant cette aventure, j’ai joué le jeu totalement. Je n’ai rien dit, j’ai porté ce qu’on m’a demandé de porter et j’étais complètement dans l’aventure, sinon ce n’est pas la peine de le faire ».
