Sandra Bullock met en garde ses fans contre ceux qui usurpent l’identité de sa sœur

Sachez, si besoin en était, que si quelqu’un du nom de Sandra Bullock vous contacte via les réseaux, ce ne sera pas la star. L’actrice de 60 ans a en effet tenu à souligner cet état de fait.
« Tout compte prétendant être moi ou une personne associée à moi est un faux compte et a été créé à des fins de gain financier ou d’exploitation », a déclaré l’actrice à People.
La veille, sa sœur cadette, Gesine Bullock-Prado, avait révélé sur les réseaux que de nombreuses personnes se faisaient passer pour elle sur Facebook. Certains comptes ont invité les internautes à entrer en contact (via de faux comptes) en message privé, justement en raison des nombreux scams, et du fait que Sandra Bullock n’est pas sur les réseaux sociaux.
Les hommes victimes aussi
Si la victime française du faux Brad Pitt a subi, entre autre cyberharcèlement, des commentaires misogynes, les hommes sont loin d’être immunisés contre de telles arnaques. Ils sont tout aussi crédules, comme en témoigne la sœur de Sandra Bullock.
« Je signale plusieurs faux comptes par jour, traite des e-mails bizarres et effrayants à mon adresse pro et perso de la part d’hommes qui croient que, grâce à l’un de ces nombreux faux moi sur les réseaux, ils ont une relation avec ma sœur […] et ont donné (parfois) des MILLIERS DE DOLLARS à une femme adulte incroyablement célèbre et prospère », a dénoncé Gesine Bullock-Prado, 54 ans, captures d’écran des faux comptes à l’appui…
La sœur de la star a bien dénoncé ces comptes à Meta, mais « surprise, ils sont tous encore en ligne », s’étonne celle qui rappelle qu’il n’y a que « pâtisserie, cuisine, animaux et jardinage » sur son compte et qu’elle a autre chose à faire que d’envoyer des messages privés aux gens.
Facebook 0, Insta 1
Si le réseau de Mark Zuckerberg fait visiblement peu cas des usurpateurs, « bizarrement, Insta gère ce genre de choses et m’informe même lorsque quelqu’un crée un compte qui pourrait être un imposteur ». Les deux réseaux appartiennent pourtant à Meta.
Dans son communiqué de mise en garde publié par People, Sandra Bullock précise que « sa préoccupation profonde » va à « la sécurité de (sa) famille, ainsi que des personnes innocentes qui sont exploitées ». L’actrice de Speed prévient également que l’affaire est entre les mains de la police, raison pour laquelle elle ne peut faire « plus de commentaires » pour le moment. « Pour l’instant, notre objectif est d’aider les forces de l’ordre à gérer cette affaire », ajoute Sandra Bullock.