Monica Bellucci impressionnée par les prouesses de Deva, sa fille avec Vincent Cassel
Telle mère, telle fille… ou presque ! Monica Bellucci s’est récemment confiée dans Elle sur sa fille aînée Deva, née en 2004 de sa relation avec Vincent Cassel. Si l’actrice italienne se montre d’ordinaire assez discrète sur ses enfants, Deva Cassel n’est plus cachée de l’œil du public depuis qu’elle s’est lancée dans le mannequinat et la comédie.
C’est donc en toute liberté que la compagne de Tim Burton a pu évoquer le début de carrière et les progrès remarquables de la jeune femme, qui a même déjà figuré dans une magnifique publicité pour la maison Dior avec l’actrice Anya Taylor-Joy. « Elle déborde d’enthousiasme, mais elle travaille depuis l’âge de 16 ans, elle a pris le temps de mûrir », a expliqué Monica Bellucci lors d’un entretien avec le magazine Elle. Et même si la carrière de l’actrice de Malèna dans la mode puis la comédie a débuté presque au même âge que celle de sa fille, les prouesses de cette dernière la surprennent.
« Deva vole… »
« Elle a fait son chemin doucement, elle a passé son bac, parle cinq langues…. Je n’étais pas aussi pro qu’elle à l’époque », a-t-elle affirmé. Deva Cassel a tout de même de qui tenir avec sa bouche, son regard et sa silhouette qui rappellent immanquablement son illustre mère ! Un héritage familial qui la mène déjà aux quatre coins du monde, tandis que sa petite sœur de 14 ans, Léonie Cassel, vit encore pour le moment avec sa mère.
Malgré la nostalgie de ne plus avoir ses deux filles sous son toit en permanence, Monica Bellucci est « heureuse de voir » sa belle Deva « passionnée par ce qu’elle fait ». « Deva vole… Et c’est beau quand nos enfants volent, non ? », a-t-elle fait remarquer. Heureusement, les retrouvailles entre mère et fille ne manquent pas ! « On se retrouve très souvent, en France ou en Italie, chez ma mère », s’est réjoui Monica Bellucci. « J’ai besoin de la voir dans les yeux et de la serrer dans mes bras, les visios, ça ne suffit pas ! Bien sûr, il y a quelque chose de nostalgique, quand on a été trois, de se retrouver deux à la maison ».