Mimie Mathy envoie un message d’espoir à Pierre Palmade
Les soutiens commencent à s’afficher timidement derrière Pierre Palmade, après un long silence à la suite de la condamnation de l’humoriste à cinq ans de prison dont deux ferme. Le comédien de 56 ans a causé un grave accident il y a exactement deux ans, dans lequel trois personnes ont été grièvement blessées, dont une femme enceinte qui a perdu son enfant à plus de six mois de grossesse peu après la collision.
Et alors que Pierre Palmade pourrait bénéficier d’un aménagement de peine, certaines langues se délient du côté de ceux qui l’ont bien connu. Il y a eu Isabelle Mergault, qui l’a défendu contre les rumeurs, Michèle Laroque qui a regretté « les effets pervers des stupéfiants » sur « un homme intelligent, drôle et protecteur », et maintenant c’est au tour de Mimie Mathy de montrer qu’elle n’a pas totalement tourné le dos à son ancien collaborateur.
Invitée sur le plateau de Vivement dimanche le 9 février, celle qui incarne Joséphine ange gardien s’est laissé aller à la nostalgie en voyant des images ses débuts, avec Pierre Palmade « qui avait écrit Le lapin nain, le spectacle du Splendid avec moi », une « idée magnifique ».
« Quelqu’un de talentueux »
Après avoir remis les pendules à l’heure concernant les rumeurs qui l’annoncent « malade, isolée » alors qu’elle dit « aller bien » et souffrir simplement de « moins de mobilité », celle qui officie avec les Enfoirés a montré son soutien à l’humoriste en disgrâce.
« Malgré tous ses défauts, Pierre est quelqu’un de talentueux, et j’espère qu’il a tout compris », a-t-elle déclaré sur le fameux canapé rouge, espérant « qu’il va revenir un jour avec le talent qui est le sien ».
Des mots qui vont probablement faire chaud au cœur à Pierre Palmade, depuis la prison de Bordeaux-Draguignan. En décembre 2023, Mimie Mathy avait en effet marqué ses distances avec lui dans TV Mag, précisant que « Ce n’est pas quelqu’un qui fait partie de mes proches, il y a trop de choses qui me gênent ». L’actrice avait également qualifié d’« impardonnables » les faits pour lesquels il a depuis été condamné.
