Loana explique pourquoi elle se rend « le plus moche possible » quand elle sort

Loana, dans les rues de Nice, le cheveu en bataille, les traits tirés, la démarche affaiblie promenant son chien… Les images ont fait le tour de la Toile et ont créé l’émoi chez les internautes.

L’ex-star de Loft Story a depuis posté deux photos sur son compte Instagram, l’une avec son chien, se disant « fatiguée peut-être mais heureuse », l’autre d’un « câlin avec une amie », Sylvie Ortega, venue la voir afin de montrer à ses fans que « que tout va bien ». La star de la téléréalité a également décidé de prendre la parole dans Voici le 25 février pour donner quelques explications quant à l’allure négligée qui a tant choqué les utilisateurs de Twitter.

Éviter les agressions

« Je me rends le plus moche possible, sans me maquiller et sans trop me coiffer pour faire mes courses tranquillement parce que j’ai été victime d’un vol à l’arraché et d’un viol, en deux ans », a-t-elle ainsi rappelé, assurant ainsi que « c’est pour ne pas attirer l’attention ». À en juger par les réactions suscitées, l’attention s’est toutefois déportée en ligne.

Le chariot de courses qui a fait croire aux internautes qu’elle était sans domicile fixe ? Des suppositions mal placées. « Je gère et heureusement, j’ai l’aide d’Alexia Laroche-Joubert. Ça va. Je ne paie pas le loyer, l’électricité et pas le téléphone », insiste celle qui a le soutien de la productrice du Loft depuis des années.

D’ailleurs, Loana, 47 ans, ne fait pas cas de ses revenus. Ainsi a-t-elle avoué au magazine toucher environ 1.500 euros par mois entre les aides pour adultes handicapés et d’autres allocations. Si elle ne roule pas sur l’or, elle s’en sort.

Après plusieurs hospitalisations et une certaine fragilité de sa santé mentale, elle aurait probablement besoin qu’on la laisse en paix, entre sa mère, Violette, dont elle a toujours été proche même si les relations ont par moments été compliquées, et son chien qui est « la raison pour laquelle elle se lève chaque matin ». Pour que, loin des feux de la rampe, sans artifices, ni maquillage, la vie reprenne son cours. Simplement.