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Les représentants de Jean Imbert répondent au dernier témoignage d’Alexandra Rosenfeld contre lui

Alexandra Rosenfeld est sortie du silence. Cette anonyme qui témoignait il y a quelques mois sous le nom d’Éléonore dans Elle des violences qu’elle aurait subies de la part de Jean Imbert a décidé de montrer son visage. Entre violences morales et violences physiques, avec fracture du nez notamment, diagnostic médical à l’appui, celle qui dit avoir été « sous emprise » il y a dix ans assure : « On m’a appelée Éléonore. C’était un faux nom, mais ce que j’ai dit est vrai. »

D’autres anciennes compagnes qui accusent le chef étoilé ont applaudi ce message, saluant le courage de miss France 2006. « Ce témoignage change tout », a estimé l’une d’entre elles, comme l’a relevé Le Parisien. « Elle a des preuves, elle n’était pas seule le jour du nez cassé. Il a du pouvoir, beaucoup d’argent. C’est difficile pour nous. Mais on a toutes des profils différents, on témoigne des mêmes procédés à 12 ans d’intervalle. Qu’attend la justice pour ouvrir une enquête ? »

Relation « insoutenable »

Contactée le 20 août par le journal quotidien, l’équipe de communication du chef du Plaza Athénée a rapporté que les deux parties avaient « échangé plusieurs messages amicaux depuis leur séparation », un détail qui pourrait faire référence à une prise de contact que l’ex-reine de beauté évoque dans son message et qu’elle explique avoir finalement interprété comme une tentative de « contrôle » sur « le récit ».

S’agissant de la fracture du nez invoquée, « ce coup de tête intervient dans un moment de violences subies par Jean Imbert alors qu’il était empoigné par Alexandra et qu’il s’en dégageait », précisent une fois de plus les représentants du chef étoilé, cette fois en nommant celle qui est désormais la compagne du journaliste Hugo Clément. « Il en regrette profondément les conséquences pour elle. Cette relation était insoutenable, marquée par les insultes et les crises », justifient-ils encore.