Laurence Boccolini retrouve le sourire chez « Les Grosses Têtes » après son éviction.
Laurence Boccolini a été accueillie sur RTL le 11 décembre dans Les Grosses Têtes, après avoir été évincée des Enfants de la télé cet été. L’animatrice a confirmé en anglais dans ses Stories Instagram qu’elle avait « l’air si heureuse » et a qualifié cette opportunité de « chance ».
Retour aux sources pour Laurence Boccolini. Écartée par France Télévisions, qui l’a remplacée sans ménagement dans Les Enfants de la télé cet été par Faustine Bollaert, et qu’elle a quitté quelques semaines plus tard, l’animatrice se consacre à de nouveaux projets.
Entre-temps, Laurence Boccolini a lancé son podcast sur YouTube, Sillage, consacré aux « souvenirs olfactifs », et a eu le plaisir d’être accueillie sur RTL le 11 décembre dans Les Grosses Têtes. « Aujourd’hui, Laurent Ruquier accueille une nouvelle Grosse Tête en la personne de Laurence Boccolini », annonçait le compte X de l’émission peu avant son arrivée, accompagnée d’une photo de l’animatrice rayonnante, visiblement heureuse de son nouveau poste. « J’ai l’air si heureuse », a-t-elle confirmé en anglais dans ses Stories Instagram, qualifiant cette opportunité de « chance ».
Un retour « émouvant ». En effet, avec ce nouveau rôle, Laurence Boccolini fait un retour à ses premiers amours. C’est dans l’émission de Philippe Bouvard qu’elle a débuté en tant qu’assistante dans les années 1980. L’animatrice retrouve même un ancien collaborateur, comme elle l’a témoigné à l’antenne (dans le podcast du débrief post-émission). « J’étais déjà Grosse Tête avec notre ami Bernard Mabille, on se connaît depuis très longtemps, depuis plus de 30 ans », rappelle celle qui était également entourée de Philippe Geluck, Stéphane Marie, Valérie Mairesse et Liane Foly.
Celle qui posait des questions dans Le Maillon faible a été interrogée à son tour. « J’ai répondu à des questions sur les plantes que Stéphane Marie ne connaissait pas lui-même », a-t-elle relevé. « Revenir aux Grosses Têtes, c’est émouvant », a-t-elle conclu après avoir ouvert avec nostalgie le livre de ses souvenirs de l’époque Bouvard, où « ça mangeait et buvait beaucoup » et où il y avait « très peu de filles ». Et elle a d’ores et déjà hâte de revenir !

