People

Justin Baldoni affirme que Blake Lively a essayé de l’exclure de la première de « It Ends With Us »

La saga juridique autour du casting de It Ends With Us se poursuit. Quelques jours après la plainte de Blake Lively contre Justin Baldoni pour diffamation et harcèlement sexuel sur le tournage de leur film, l’acteur et réalisateur a porté plainte mardi contre le New York Times, qui a révélé les accusations de l’actrice à son égard.

Dans cette nouvelle action en justice s’élevant à 250 millions de dollars (241 millions d’euros), le collègue de Blake Lively dans l’adaptation cinématographique du roman de Colleen Hoover accuse notamment la star de Gossip Girl d’avoir tenté de l’empêcher d’assister à la première du film, qu’il a aussi réalisé, lors de sa sortie l’été dernier. « Lively a d’abord refusé de l’autoriser à assister à la première du film », peut-on lire dans la plainte de 87 pages consultée par Variety.

« Séparés de la distribution principale »

« Ce n’est qu’après de fortes pressions qu’elle a accepté à contrecœur de permettre à Baldoni et à l’équipe de Wayfarer (studio de production) d’y assister, mais dans des conditions humiliantes ». Le cinéaste de 40 ans et ses proches auraient été « tenus à l’écart » de ses collègues lors de la promotion du film : « L’équipe de Wayfarer et leurs familles, y compris Baldoni et (le producteur Jamie) Heath, ont été séparées de la distribution principale, interdits d’accès à l’after-party exclusive et forcés d’organiser leur propre événement à un coût supplémentaire ».

Or, lors de sa participation à l’avant-première de It Ends With Us, Justin Baldoni et ses proches auraient de surcroît été ostracisés. « La participation de Baldoni au tapis rouge a été écourtée, et sa famille et ses amis ont été confinés dans une zone de détention improvisée au sous-sol avant d’être escortés dans une salle de cinéma séparée après le départ de Lively », précisent les documents juridiques. « Non seulement Lively a volé le film, mais elle a aussi privé Baldoni et son équipe d’une véritable occasion de célébrer leur dur labeur ».

Les avocats de l’actrice ont affirmé au New York Post que ce nouveau rebondissement ne changeait « en rien » les « affirmations avancées dans la plainte du département californien des droits civils de Mme Lively, ni dans sa plainte fédérale » à l’encontre du cinéaste. De leur côté, les équipes du New York Times ont défendu l’intégrité de leur travail et affirmé leur volonté de se défendre « vigoureusement » contre la plainte.