Héritage d’Alain Delon : Anouchka dénonce une « trahison » après Alain Fabien
Jeudi, Anouchka Delon a partagé sur son compte Instagram un long temps en forme de mise au point sur le conflit latent autour de l’héritage d’Alain Delon, décédé le 18 août 2024. Anouchka Delon affirme que cette « trahison » d’Alain Fabien « lui octroie le pouvoir de déployer ses ailes enfin » et « d’embrasser avec force [s] on rôle de gardienne de la mémoire ».
Jeudi, Anouchka Delon a publié sur son compte Instagram un long message pour clarifier le conflit autour de l’héritage de son père, Alain Delon, décédé le 18 août 2024. Ce post intervient après l’interview de son frère, Alain Fabien, diffusée sur RTL. Dans cet entretien, ce dernier menace de demander à la justice suisse de prononcer « l’indignité successorale », ce qui pourrait l’exclure de l’héritage.
« Il était une fois, dans un pays pas si lointain que ça, un petit garçon très, très en colère », écrit Anouchka Delon sur Instagram. « Tel Brutus ou Judas, ce gamin prétendant être un fils, un frère, s’engagea à poignarder son unique sœur dans le dos, ainsi qu’à trahir les liens sacrés du sang sur la place publique, tribunal populaire en plus. » Elle se décrit comme « estampillée mouton noir de la famille Delon » et estime qu’Alain Fabien, « mû par une jalousie fratricide », a élaboré « un scénario chimérique, calomnieux et paranoïaque nourri aux paradis artificiels. »
Anouchka Delon renforce ses accusations envers son frère, dénonçant un « chantage de mafieux de série B » suite aux propos tenus par Alain Fabien sur RTL. Ce dernier soupçonne sa sœur d’avoir « profité de la faiblesse » de leur père après son AVC en 2019, affirmant qu’Alain Delon n’avait plus toute sa tête lorsqu’il a signé un nouveau testament, trois ans plus tard, au profit d’Anouchka.
Pour conclure son post sur les réseaux sociaux, Anouchka Delon déclare que cette « trahison » d’Alain Fabien « lui octroie le pouvoir de déployer enfin ses ailes » et « d’embrasser avec force [s]on rôle de gardienne de la mémoire ».
