Christine Bravo dénonce Richard Gere : « Madame chochotte namasté »
Christine Bravo a reçu Richard Gere en 1994 dans Frou-Frou, son ancienne émission de France 2. L’acteur a quitté le plateau de l’émission au bout de 30 minutes d’enregistrement après avoir exprimé son mécontentement concernant un plateau de fromage « français ».
Christine Bravo et Richard Gere ne sont pas près de se retrouver sur un plateau de télévision. En 1994, l’animatrice a accueilli la star de *Pretty Woman* dans *Frou-Frou*, son ancienne émission de France 2. Cependant, ce qui aurait dû être un moment de convivialité s’est rapidement détérioré.
L’acteur a d’abord posé certaines conditions avant son arrivée. « Il avait exigé qu’il n’y ait pas de public parce qu’il ne voulait pas attraper de microbes », a raconté Christine Bravo au micro d’*On refait la télé* sur RTL. « Donc vous voyez bien le taré. En fait c’est madame chochotte namasté », a-t-elle ajouté, provoquant les rires des animateurs Éric Dussart et Jade.
### Départ anticipé
Cependant, le pire était à venir, car la star hollywoodienne s’est indignée devant le plateau de fromage « français » que l’animatrice souhaitait lui faire goûter. « Je ne mange jamais de fromage », a-t-il d’abord déclaré. Mais lorsque son hôte a insisté, le comédien s’est emporté : « Pourquoi elle me fait ça ? C’est son boulot de faire ça ? Pourquoi vous me faites ça ? Combien de personnes regardent ça ? », avant de quitter le plateau au bout de 30 minutes d’enregistrement.
Oscillant entre agacement et rire en réécoutant ce passage, Christine Bravo a qualifié Richard Gere de « pas sympathique ». « On a dû continuer l’émission sans lui en mettant des plans de sa gueule au montage », a-t-elle regretté. Suite à cette mésaventure, l’acteur se serait rendu « traumatisé » dans les studios de TF1 pour le JT de 20 heures. « PPDA (le présentateur Patrick Poivre d’Arvor) l’accueille et il lui faut une pièce noire, un gourou et un tapis pour qu’il s’enlève les mauvaises ondes de *Frou-Frou* », s’est-elle indignées, avant de s’emporter à son tour : « Ces mecs, c’est des riens, c’est un rien ! »

