Björk reste confiante quant à l’avenir de la planète
À l’heure où la planète brûle, Björk refuse de céder au pessimisme ambiant. En effet, l’artiste islandaise de 58 ans voit en 2025 une année pleine de promesses, estimant que si l’humanité a déjà traversé bien des apocalypses, des inondations aux grandes épidémies, c’est parce que la nature finit toujours par trouver un moyen pour s’en sortir.
« Il s’agit aujourd’hui d’être actif et de faire partie de la solution », a-t-elle déclaré à Paper. « Et aussi d’avoir le courage d’imaginer un futur et d’en faire partie, d’être ce futur. D’inspirer votre travail localement dans votre communauté ou de faire la différence comme vous le pouvez. C’est important. »
Une pensée positive à toute épreuve
D’ailleurs, Björk avoue avoir du mal avec les œuvres post-apocalyptiques. « C’est comme si vous aviez abandonné. Le nihilisme, l’apitoiement sur soi, c’est comme si c’était cool d’abandonner. Je ne pense pas que ce soit cool d’abandonner », a-t-elle poursuivi.
Un optimisme que Björk entend bien partager avec le plus grand nombre à travers Cornucopia, un film-concert aux accents écologiques qui est arrivé sur Apple TV vendredi dernier.