Bernard Montiel ne cache pas son émotion devant des images de son ancien compagnon.

Bernard Montiel a exprimé son émotion face aux images de son chien Farouk lors de son passage dans l’émission C à vous. Il a indiqué qu’il ne s’était pas remis de la disparition de Farouk, son labrador crème décédé il y a une vingtaine d’années.

Il existe des disparitions dont on ne se remet pas. Pour Bernard Montiel, cela concerne Farouk, son labrador crème, que les téléspectateurs ont pu voir à plusieurs reprises à la télévision, notamment dans l’ancienne émission de TF1, Vidéo Gag, qu’il a animée pendant plus de dix ans dans les années 1990. Il n’est donc pas surprenant que l’ancien chroniqueur de TPMP ait été submergé par l’émotion en visionnant des images de son « compagnon » diffusées lors de son passage hier dans C à vous.

« Ah, ne montrez pas Farouk, je vais pleurer », a-t-il averti, face caméra, l’animateur d’Animalement vôtre, avant de ressentir les larmes lui monter aux yeux devant une archive de 1995 de 30 millions d’amis où il parlait de son quotidien à Pyla-sur-Mer avec son chien, décédé il y a environ vingt ans.

« J’ai profondément aimé ce chien, c’était mon compagnon », a-t-il déclaré, la voix tremblante. « Je suis un peu un solitaire, il était avec moi chaque jour ! »

Toujours très attaché à Farouk, Bernard Montiel a du mal à visionner des images de cette « merveille ». « Je ne m’en suis pas remis. Je ne peux pas en parler, je ne peux pas le voir », a-t-il avoué, devant le regard surpris et empathique d’Anne-Élisabeth Lemoine.

Après la perte de son chien, l’animateur a décidé de ne pas le « remplacer » immédiatement. « Je sais ce que c’est que d’avoir un animal, c’est très important, il faut les respecter et les aimer profondément », a-t-il souligné. « Donc j’attends d’être à la retraite, d’ailleurs dans pas longtemps les amis ! Et je vais avoir plein de chiens chez moi ! »

Bernard Montiel a déjà évoqué la disparition de Farouk par le passé, notamment sur le plateau de 6 à 7 en 2021, où il a rappelé que ce bouleversement avait eu lieu en même temps que la mort de son père et son éviction de TF1 après un conflit avec la chaîne.

« J’étais extrêmement malheureux », a-t-il confié, comme l’a rapporté Télé Loisirs. Au micro d’Europe 1 la même année, le chroniqueur a reconnu que ses déclarations fracassantes sur RMC en 2003 concernant des collègues de TF1, qui lui auraient valu son départ, avaient été en partie motivées par les événements de cette « mauvaise période ».