Audrey Crespo-Mara évoque le « bal des faux culs » prévu par Thierry Ardisson pour ses obsèques.
Audrey Crespo-Mara a organisé la cérémonie « dans la plus stricte intimité » que voulait son mari Thierry Ardisson, décédé le 14 juillet à 76 ans. La journaliste avait comme directive de faire « pas chiant », lui ayant déjà sélectionné notamment « les musiques » de la cérémonie.
Audrey Crespo-Mara a organisé la cérémonie « dans la plus stricte intimité » souhaitée par son mari Thierry Ardisson, décédé le 14 juillet à 76 ans. Cependant, la veuve a noté que certaines personnes présentes dans l’église n’étaient pas sur la liste des invités.
« Il est vrai que certaines personnes s’invitent », a-t-elle déclaré dans l’émission Quelle époque !, tout en soulignant qu’une « quantité » de ceux qui étaient venus rendre hommage à l’animateur avaient « aimé, adoré » l’homme et « infiniment respecté toute sa vie ». Pourtant, cela ne correspondait pas à ce que Thierry Ardisson avait anticipé. « Il m’a dit : “fais gaffe, cette cérémonie à Saint-Roch à Paris, ça va être le bal des faux culs” », a précisé la journaliste de TF1 à Léa Salamé, son homologue du 20 heures de France 2.
« Pas chiant »
Ces propos avaient été rapportés par Audrey lors de son éloge funèbre. « Je l’ai dit parce que je me disais que peut-être qu’il y en a (parmi les faux culs) qui seraient là », a-t-elle ajouté. « Il y avait quelques personnes qui ne l’avaient pas assez aimé, qui ne nous avaient pas assez aidés de son vivant ». Seule Audrey Crespo-Mara « et les enfants » étaient autorisés à prononcer un discours. Pour respecter les souhaits de son époux décédé, la journaliste avait pour instruction de faire « pas chiant », lui ayant d’ailleurs préalablement choisi « les musiques » de la cérémonie.
« On a fait assez court, j’espère que ce n’était pas chiant », a-t-elle confié. Hugo Clément, nouvel intervenant de l’émission et présent aux obsèques, l’a rapidement rassurée. « C’était du Thierry tout craché », a-t-il affirmé. « Il l’a presque construit, on a l’impression, comme une émission de télé avec un conducteur. Et il n’y avait pas de temps mort, c’était joyeux ».

