Adil Rami en larmes craint que sa mère ne soit plus là

Adil Rami a hâte de monter sur scène pour sa première pièce de théâtre, Le Jeu de la Vérité, mise en scène par Philippe Lellouche, et il a confié à Nathalie Renoux dans l’émission 12.45 de M6 qu’il a besoin que sa mère vienne le voir jouer. Dans un extrait du documentaire de Karim Rissouli après la victoire des Bleus à la Coupe du monde de Football en 2018, Adil Rami révélait être issu d’une fratrie de quatre enfants que sa mère a élevée « seule, sans travail, sans permis ».

Adil Rami attend avec impatience de monter sur les planches pour sa première pièce de théâtre, intitulée Le Jeu de la Vérité, mise en scène par Philippe Lellouche. Le public devra patienter jusqu’au 21 janvier pour le voir dans ce rôle inédit, mais l’ancien footballeur est particulièrement désireux d’accueillir une spectatrice en particulier : sa mère.

« Il faut que cette pièce arrive vite parce que j’ai envie de la jouer. Et j’ai besoin que ma mère vienne me voir jouer », a-t-il déclaré à Nathalie Renoux lors de l’émission 12.45 sur M6.

Un aveu qui dissimule une inquiétude, que le jeune comédien n’a pas pu cacher longtemps.

Un vœu cher

« Ça, c’est une vérité. J’ai peur qu’elle ne soit plus là. Donc voilà », a-t-il ajouté, avec les larmes aux yeux. « Je vous sens ému », a observé Nathalie Renoux, alors que l’ancien gagnant des Traîtres peinait à retenir son émotion. « Pardon », a-t-il finalement murmuré. « C’est beau aussi de vouloir rendre fière sa maman », a répondu la journaliste, qui a affirmé « croiser les doigts » pour que son vœu se réalise.

L’ancien sportif a déjà partagé des souvenirs touchants concernant sa mère, à laquelle il est très attaché. Dans un extrait du documentaire de Karim Rissouli, après la victoire des Bleus à la Coupe du monde de football en 2018, C’était écrit : la revanche des Bleus, Adil Rami révélait qu’il était issu d’une fratrie de quatre enfants que sa mère a élevée « seule, sans travail, sans permis ». Une « force » qui a eu un impact majeur sur le champion de 39 ans. « C’est pour ça que je l’idolâtre et que j’ai réussi à fonder une carrière », a-t-il déclaré, les larmes aux yeux.