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Alerte à la bombe : désordre au quartier général du Parti démocrate.

À la suite de l’assassinat de Charlie Kirk dans l’Utah, les États-Unis connaissent une montée de tension marquée par des alertes à la bombe, notamment au siège du Parti démocrate à Washington. Alors que le pays se souvient des victimes des attentats du 11 septembre 2001, plusieurs universités historiquement noires ont également été ciblées par des menaces similaires.

Vingt-quatre heures après l’assassinat de Charlie Kirk en Utah et au moment où les États-Unis commémorent les victimes des attentats du 11 septembre 2001, une ambiance tendue règne sur le territoire. Dans l’après-midi, le siège du Parti démocrate américain (DNC) à Washington a été évacué suite à une alerte à la bombe lancée par la police du Capitole.

« Cet après-midi, la menace pesant sur le DNC a été jugée non crédible », a indiqué Hannah Muldavin, porte-parole du parti. Elle a exprimé sa gratitude envers la police et les équipes de sécurité pour leur réactivité et a ajouté qu’une fouille exhaustive du bâtiment était en cours par mesure de précaution.

Des alertes similaires dans d’autres établissements

Les forces de l’ordre ont été prévenues à 13h07 (heure locale) et ont immédiatement sécurisé la zone. Sur les réseaux sociaux, plusieurs militants républicains dénoncent une manœuvre destinée à détourner l’attention du public suite à la mort de Charlie Kirk.

Parallèlement, plusieurs universités historiquement noires ont également reçu des menaces similaires. Hampton University a annulé ses cours, tandis que Virginia State University et Alabama State University ont été placées en confinement, selon les déclarations des autorités locales.