Toute l’info en 2 minutes : Quelle relation pour Trump et Macron, aveux de la mère d’Amandine et Emmaüs change d’image
Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair.
Avec le retour de Donald Trump à la tête des Etats-Unis, la France va devoir revoir sa manière de discuter avec la Maison-Blanche. Pour bien comprendre comment va désormais se jouer la diplomatie entre Paris et Washington, 20 Minutes a interrogé Taoufik Djebali, maître de conférences en études anglophones à l’Université de Caen Normandie et spécialiste des relations transatlantiques. Selon lui, « Trump a une vision de la société complètement différente » de celle d’Emmanuel Macron. Ainsi, « les relations vont être difficiles, d’autant plus que Trump est davantage dans l’idéologie qu’autrefois ».
Toutefois, « ce serait suicidaire pour Macron de couper les ponts avec le président américain ». La France a donc « tout intérêt à unifier la position de l’Europe pour faire face à Donald Trump ». Vaste programme.
Jugée depuis lundi devant les assises de l’Hérault, Sandrine Pissarra est pour la première fois sortie de ses dénégations. Accusée d’avoir frappé, humilié et affamé à mort Amandine, adolescente de 13 ans, sa mère a reconnu les faits mardi. Et ce, pour la première fois depuis le début de l’instruction. Du « totalitarisme familial », a résumé le président de la cour. Le 6 août 2020, jour de son décès d’un arrêt cardiaque, au domicile familial de Montblanc, dans l’Hérault, la collégienne ne pesait plus que 28 kg pour 1,55 m, victime d’« actes de torture ou de barbarie ».
Emmaüs tente de se donner une nouvelle image. Alors que l’abbé Pierre est au cœur d’un scandale posthume, le mouvement a décidé mardi de retirer de son logo la mention à son fondateur. Celle-ci apparaissait jusqu’à présent en petits caractères après le nom de l’association, sous un symbole, un carré bleu orné d’un soleil jaune. « Sans renier ce qu’on doit à l’abbé Pierre, on doit continuer à travailler au service des publics vulnérables », a commenté Bruno Morel, président d’Emmaüs France. Plus de 15 ans après sa mort, l’abbé Pierre est visé par 33 accusations de violences sexuelles dont une pour un viol présumé sur mineur.