« L’Amour est dans le pré » : Découvrez les cinq derniers portraits de la saison 20
A la fin, il n’en restera… que deux. Cette année encore, avec « L’Amour est dans le pré », les agricultrices et agriculteurs ont la ferme volonté de conjuguer leur vie à deux. 20 Minutes vous présente, en avant-première, les cinq derniers portraits de la saison 20 du programme phare de M6, qui seront proposés à l’antenne ce lundi soir, à 21h10.
Célia ne se laisse pas fer
Eleveuse d’une vingtaine de chevaux en Occitanie, Célia compte bien se remettre en selle sur le plan amoureux. A 30 ans, la jeune femme n’a connu que trois cavaliers sérieux, sans pour autant trouver celui qui la fera mener une vie au galop. Débordante d’énergie, Célia recherche – et pas sous le sabot d’un cheval – un homme à la fois audacieux, courageux et ayant de l’esprit. La missive du prétendant sera donc d’importance, dans l’espoir de prendre les reines du cœur de la sympathique trentenaire.
Gilles donne le la(it)
Mordu de danse, Gilles, céréalier et agent de collecte de lait de 58 ans, bat le tempo au boulot. Très tôt, le gars de la Normandie reprend la ferme familiale, héritant de pas moins de 40 hectares et de 30 vaches laitières au moment du départ à la retraite de son père. Loin d’être soupe au lait, avec son large sourire, Gilles a connu de difficiles ruptures amoureuses qui ont fait valser ses plans.
Bien entouré par « les soleils de sa vie » que sont ses trois filles, ainsi que ses amis, le Normand se verrait bien twister sur les planchers (pas des vaches) mais des bals et autres dancings au bras d’une femme qui saura l’accepter tel qu’il est. Cette dernière devra aimer aussi la ruralité. Qui est prête à entrer dans la danse ?
Elevé dans la religion catholique, Jean-Baptiste, 35 ans, aimerait vivre une histoire proche de celle de ses parents, faite à la fois d’amour et de complicité. Après avoir pris son bâton de pèlerin à travers différents pays, le jeune homme a repris Il a repris l’exploitation familiale à la retraite de son père. L’éleveur bovin est ouvert aux autres, comme en témoigne sa ferme pédagogique, qui abrite plus d’une centaine d’animaux ou encore les séjours dans des logements insolites qu’ils proposent aux âmes voyageuses, en quête de quiétude.
Son chemin amoureux à lui, il le voit avec un homme authentique, souhaitant s’inscrire dans une relation durable, avec des valeurs et de la complicité. Bref, quelqu’un de sain (t).
Julien, c’est le pied !
Féru de football, Julien a, depuis deux ans, un même but : faire tourner l’exploitation familiale inscrite sur cinq générations. Très entouré sur le terrain par ses amis, le producteur de fourrage et céréalier en Nouvelle-Aquitaine s’éclate dans une association de comédies musicales où il se produit chaque année. C’était d’ailleurs en boîte de nuit que Julien a longtemps cherché sa dulcinée, avant de faire appel à Karine Le Marchand et à « L’Amour est dans le pré ».
Le festif trentenaire est à la recherche une femme, de 25 à 37 ans, qui souhaite fonder une famille et qui est indépendante financièrement. Entre foot, chant et travail à la ferme, Julien assure à sa future moitié qu’il sera prêt à lever le pied pour donner un nouvel écho à une vie à deux.
Pierrick, comme un roc(k)
Tout n’a pas toujours été à l’unisson pour Pierrick, fan de danse de salon, excellant aussi bien en valse qu’en rock. Mais très tôt, à l’âge de 18 ans, le jeune homme d’alors a dû reprendre l’exploitation au décès de son père et épauler sa mère, qui a dû continuer à élever ses trois petits frères et sœurs.
L’éleveur laitier et de volaille, mais aussi céréalier de 62 ans est lui-même père de trois enfants. Célibataire depuis six ans, après avoir été marié de longues années, Pierrick, qui souhaite prendre davantage de temps pour lui en arrêtant une partie de ses activités, recherche une femme pour le reste de sa vie, aimant la danse. A noter les petits plus du Breton : il est aussi tactile que gourmand. Ça va swinguer !