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EN IMAGES Les pièces les plus WTF et non importables de la Fashion Week

La Fashion Week a présenté des tenues jugées particulièrement farfelues, comme une combinaison trompe-l’œil reproduisant un corps masculin et un look avec des jambières surdimensionnées en rose fluo. La maison Noir by Kei Ninomiya a contribué avec une tenue faite de matières nobles, tout en étant critiquée pour son effet sapin de Noël ne permettant pas une mobilité optimale.


Christelle Pellissier a publié un article le 8 octobre 2025 à 15h53, soulevant une question que beaucoup se posent : comment des tenues aussi extravagantes peuvent-elles apparaître sur les podiums ? Les marques de prêt-à-porter, la fast fashion et l’ultra fast fashion s’inspirent directement des créations vues lors de ces défilés. Cette Fashion Week a notamment été marquée par des pièces impossibles à porter, frisant parfois le ridicule. Plusieurs marques aiment à repousser les limites de la créativité, offrant une mode plus conceptuelle, ce qui est apprécié par certains.

Néanmoins, il est clair que peu de gens, à part peut-être Rihanna et Kim Kardashian lors du Met Gala, adopteront des looks comme une jupe en oreiller, une combinaison avec un imprimé de poils de torse ou des escarpins fixés sur les épaules.

Voici un aperçu des tenues les plus surprenantes (et totalement importables) observées à la Fashion Week :

La marque Comme des Garçons, réputée pour son audace, a proposé une tenue mi-poussin, mi-travailleur du BTP, qui pourrait provoquer quelque mécontentement dans les transports en commun.

Pour son premier défilé pour Jean Paul Gaultier, Duran Lantink a présenté des pièces ahurissantes, notamment une combinaison trompe-l’œil qui imite un corps masculin. Bien qu’une idée engagée puisse se cacher derrière cette silhouette, le sens en est difficile à saisir.

Pierre Cardin, dont les looks futuristes sont célèbres, a également présenté des jambières surdimensionnées en rose fluo, fixées par un patch au-dessus de la poitrine, un choix difficile à porter dans la vie quotidienne.

L’univers décalé de Thom Browne a de nouveau fait parler de lui avec des masques scintillants et une superposition excessive de manches, rendant la tenue encore plus étrange, peu adaptée au métro.

Comme des Garçons a encore frappé fort avec une tenue imposante, semblant être une accumulation de draps et de nappes, peut-être destinée à créer un cocon face aux incertitudes du monde, mais peu pratique au quotidien.

Noir by Kei Ninomiya a également marqué les esprits avec une tenue en tulle, à l’aspect sapin de Noël, ne permettant pas une grande mobilité lors de ses courses.

Une silhouette légère et fluide a attiré l’attention, mais s’est révélée être trompeuse en raison des nombreux talons vertigineux servant d’épaulettes.

Jean Paul Gaultier a réintroduit sa combinaison emblématique avec un soutien-gorge conique, des cônes ayant visiblement perdu de leur éclat.

Vetements a présenté un look conceptuel avec un oreiller en guise de jupe, un choix fonctionnel mais peu glamour, tout en soulignant une thématique du sommeil qui revient régulièrement dans la mode.

Enfin, le défilé de Dolce & Gabbana a été une performance dédiée au pyjama, avec des nuisettes et des pyjamas ornés de cristaux, beaux, mais inadaptés pour sortir.