”Sang qui bouillonne », « conditions pitoyables », génuflexions à nu: au procès des attentats, des accusés menacent de garder le silence

Il y a eu la question de box individuels et fermés qui, laissaient entendre les avocats des accusés en septembre lors de l’audience préliminaire, auraient pu brider la parole…

Cet article est réservé aux abonnés

Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité

Abonnement sans engagement