Belgique

Réactions des futurs adversaires des Diables Rouges : « On n’a pas peur »

Darren Bazeley, le sélectionneur de la Nouvelle-Zélande, a déclaré que la dernière participation de son équipe à la Coupe du Monde remontait à 2010, où ils avaient réalisé trois partages. Le président de la fédération égyptienne, Hani Abourida, a indiqué que le groupe était « équilibré mais pas facile comme certains le prétendent ».


Darren Bazeley, sélectionneur de la Nouvelle-Zélande, a exprimé une certaine satisfaction après le tirage au sort du groupe G, qui inclut la Belgique, lors d’une interview avec Sporza : « C’est un bon tirage. Un tirage extrêmement difficile mais tous les groupes sont compliqués. Il n’y a pas de mauvaises équipes à la Coupe du Monde. Mais en même temps, c’est très excitant. La Belgique, l’Iran qui est une bonne équipe asiatique et l’Égypte, qui vient d’Afrique. Donc c’est un bon mélange. Nous avons hâte d’y être. »

Concernant les ambitions de la Nouvelle-Zélande dans ce Mondial, il a déclaré : « C’était déjà d’y être. La dernière fois que nous avons participé remontait à 2010, où nous avions réalisé trois matchs nuls. Donc notre premier défi sera de gagner un match et ensuite de sortir de la phase de groupes. »

Il a ajouté : « Nous avons de bons joueurs. Pas mal de jeunes qui arrivent. Ce sera un sacré défi d’affronter la Belgique, avec leur histoire et le fait qu’ils ont beaucoup de bons joueurs. Mais nous n’avons pas peur, nous sommes vraiment très excités. »

Bazeley a poursuivi en disant : « Je ne connais pas toute la nouvelle génération de la Belgique. Mais je connais évidemment Kevin De Bruyne, Romelu Lukaku, Jeremy Doku… Je sais qu’ils ont des joueurs qui évoluent dans les meilleurs championnats européens. Ce sera un véritable défi pour nous. […] Nous avons vraiment hâte de rencontrer la Belgique qui est l’une des dix meilleures équipes du monde. »

Dans ce groupe G très diversifié, l’Égypte sera sans doute le principal rival des Diables. Le président de la fédération, Hani Abourida, a mentionné que le groupe était « équilibré mais pas facile comme certains le prétendent. »

Il a ajouté : « Il n’existe pas de matchs faciles à ce niveau de compétition, toutes les équipes qualifiées sont fortes », tout en soulignant que la sélection égyptienne abordera ce groupe avec un « très grand respect mais aussi avec l’objectif d’aller le plus loin possible et de réaliser une participation historique. »

Amir Ghalenoei, le sélectionneur iranien, a pris une position prudente. « Le football a progressé, il n’existe plus d’équipe facile. Notre groupe est meilleur que certains autres, mais nous n’avons pas le droit de considérer un adversaire comme facile. Nous devons entrer dans la compétition avec la meilleure qualité possible », a-t-il déclaré sur le site de sa fédération.