Grève nationale : le pays partiellement paralysé trois jours durant

FGTB, CSC et CGSLB demandent plus de justice fiscale et un examen des subventions aux entreprises, plaidant pour que « chaque salaire soit soumis à des cotisations de sécurité sociale ». Aucun avion ne décollera de Brussels Airport mercredi, et l’aéroport de Charleroi n’accueillera aucun vol, ni au départ, ni à l’arrivée.

FGTB, CSC et CGSLB demandent à l’Arizona une plus grande justice fiscale et un examen des subventions attribuées aux entreprises. Ils insistent également sur le fait que « chaque salaire soit soumis à des cotisations de sécurité sociale » et continuent à critiquer la réforme des pensions ainsi que celle des statuts dans plusieurs secteurs. Les syndicats de cheminots ont exprimé leur intention de faire grève pendant trois jours et ont été rejoints par le syndicat autonome des conducteurs de train (SACT). Les trois sociétés de transports publics, Stib, Tec et De Lijn, participeront également à cette grève de trois jours. Aucun vol ne décollera de Brussels Airport mercredi, et certains vols à l’arrivée seront également concernés. La situation sera similaire à l’aéroport de Charleroi, qui n’accueillera aucun vol, ni au départ ni à l’arrivée.

Les enseignants se joindront également à la grève les 25 et 26 novembre, tandis que le service public de Wallonie, le ministère de la Communauté française, ainsi que les administrations locales et provinciales observeront une grève de trois jours. Le secteur de la santé est également prévu de participer aux manifestations. La CGSP Police a annoncé qu’elle suivrait le mouvement en déposant un préavis de grève de trois jours, visant à dénoncer les conditions de travail des policiers et le manque de reconnaissance, notamment en matière de retraite. Le ramassage des poubelles subira des perturbations de lundi à mercredi, tant à Bruxelles qu’en Wallonie.

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