Algérie

Comment l’AEC a-t-elle rétabli la station de dessalement de Béni Saf en temps record ?

Dans la nuit de jeudi à vendredi, la station de dessalement de l’eau de mer de Shatt Al-Hilal à Béni Saf, située dans la wilaya d’Aïn Témouchent, a été remise en service de manière partielle après un arrêt inattendu causé par un incendie. L’incident, qui a gravement endommagé la salle des cellules électriques, avait mis en péril la fourniture d’eau potable à la région.

Cependant, grâce à la réaction rapide et aux efforts concertés de la société algérienne de l’énergie (AEC), filiale du groupe Sonatrach, la station a pu reprendre ses opérations en un temps record.

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L’arrêt de cette station, qui joue un rôle crucial en fournissant 100 000 m³/jour d’eau potable à la région, aurait pu entraîner des conséquences graves pour la population locale.

Dès les premières heures de l’incident, l’AEC a mobilisé toutes ses ressources disponibles pour évaluer les dégâts et commencer les travaux de réparation. Des équipes techniques spécialisées ont été dépêchées sur place et ont travaillé sans relâche pour rétablir la situation.

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Le président-directeur général de la société a dirigé personnellement les opérations depuis le site de l’incident, veillant à ce que chaque étape soit exécutée avec une efficacité maximale.

La poursuite des travaux et l’engagement vers l’avenir

Actuellement, bien que la station soit de nouveau opérationnelle et fournisse 100 000 m³/jour, les travaux de maintenance se poursuivent à un rythme soutenu. L’objectif est de restaurer la capacité totale de la station, soit 200 000 m³/jour, dans les plus brefs délais. Les équipes de maintenance travaillent 24 heures sur 24, démontrant ainsi leur engagement indéfectible envers la mission de l’entreprise.

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La réouverture partielle de la station de dessalement de Béni Saf est une leçon de résilience et d’efficacité. Face à un incident majeur, l’AEC a démontré sa capacité à surmonter les défis et à assurer la continuité de ses services essentiels.

Cette expérience renforce la confiance dans la disposition de l’entreprise à gérer des infrastructures critiques et à répondre aux besoins de la population, même dans des situations d’urgence.