Olivier Minne explique pourquoi il n’a jamais eu d’enfants.
Olivier Minne ne regrette pas de ne pas être devenu père et affirme que l’amour « peut s’exprimer différemment qu’en donnant naissance à un enfant ». Il a récemment accepté de faire des confidences sur sa vie intime auprès du magazine Nous Deux, en indiquant qu’il a essayé de domestiquer ses passions, alors qu’il était « esclave de [ses] passions » dans sa jeunesse.
Olivier Minne n’éprouve aucun regret de ne pas être devenu père. L’ancien animateur de Fort Boyard, qui a quitté France Télévisions l’été dernier après plus de 30 ans de service pour rejoindre M6, a récemment partagé de rares informations sur sa vie personnelle dans le magazine Nous Deux, évoquant la paternité et ses idées sur l’amour.
« J’ai une opinion pas très politiquement correcte sur ce sujet », a-t-il déclaré lorsqu’on l’a interrogé sur la paternité, comme l’a rapporté Télé-Loisirs. « Si avoir des enfants, c’est se répliquer soi-même, c’est une tentation que je n’ai jamais eue », ajoutant que pour lui, l’amour « peut s’exprimer différemment qu’en donnant naissance à un enfant ». Il a souligné que devenir père implique « des responsabilités » qui ne l’ont pas attiré en tant que nouveau présentateur du Maillon Faible.
En matière d’amour, Olivier Minne se décrit comme un « amoureux tranquille » au fil des ans, contrairement à sa jeunesse où il était davantage en proie à la passion. « Je ne suis pas un amoureux de la démesure et je pense que ce n’est pas plus mal », a-t-il affirmé. « Jeune, j’ai été esclave de mes passions et je me suis rendu compte qu’elles étaient parfois mauvaises conseillères. J’ai essayé de les domestiquer et ça semble aller à l’autre et aux autres. »
Cependant, l’animateur de Pandore, un nouveau jeu télévisé de M6 prévu pour le 22 décembre, fait partie de « ceux qui ont des amitiés amoureuses », avec des relations amicales profondes pouvant parfois mener à des rapports ambigus. « Je me demande même si l’amitié ne demande pas encore plus d’exigence que l’amour », a-t-il réfléchi dans ce contexte. Une chose est certaine, Olivier Minne a trouvé son bonheur à Los Angeles, une « terre de l’amour, de la culture, de l’écriture » et des « rencontres improbables », où il passe une partie de l’année.

