Karine Le Marchand dévoile ses volontés pour les agriculteurs.

Karine Le Marchand a exprimé son souhait d’avoir des agriculteurs en tracteur sur les Champs-Élysées lors de son décès. Au cours de l’émission, elle a rendu hommage aux candidats qu’elle accompagne depuis 16 ans, déclarant qu’elle est « toujours là » pour « aider » les candidats.

Karine Le Marchand et les agriculteurs entretiennent une relation complice et durable. Lors de la célébration des 20 ans de l’émission L’Amour est dans le pré, la présentatrice a exprimé un souhait pour son dernier voyage, désirant qu’il soit marqué par un esprit champêtre, comme l’a rapporté Télé 7 jours. Elle a partagé sa volonté, en raison de sa conscience de ne pas être « éternelle ».

« Mais je compte sur vous si un jour je meurs et vous êtes encore là, mon grand kiff ce serait d’avoir des tracteurs sur les Champs-Élysées », a-t-elle déclaré. Bien qu’elle reconnaisse que ce projet puisse sembler « mégalo », elle a affirmé que son « grand truc » serait « d’avoir quelques agriculteurs qui viennent en tracteur et qui descendent les Champs-Élysées ».

Lors de cette même émission, chargée d’émotion, Karine Le Marchand a souhaité rendre hommage aux candidats qu’elle accompagne depuis 16 ans. « Vous m’apportez tellement et je sais que vous m’aimez pour ce que je suis vraiment, au-delà des apparences, de la fille de la télé. Quand on se rencontre, on a une connexion, il se passe quelque chose, je vous comprends », a-t-elle affirmé, soulignant son engagement à « aider » les candidats, à l’exception de devenir la marraine de leurs enfants, comme elle l’a déjà mentionné.

Les agriculteurs ont exprimé leur reconnaissance envers elle, en réécrivant La Tendresse de Bourvil pour mettre en avant leurs « espoirs devenus vies » et leurs « enfants venant des prés » lors de l’émission. À 57 ans, l’animatrice a joué un rôle dans la création de nombreux couples ayant eu des enfants. Si tous se rassemblaient pour lui rendre un dernier hommage, on pourrait dire que la boucle serait bouclée. Ainsi, la mort sera-t-elle aussi présente dans le pré ? L’avenir le dira, mais espérons le plus tard possible.