Marlène Schaff répond aux « raclures de bidet » harcelant les élèves de la « Star Academy » en ligne
La nouvelle saison de la Star Academy a diffusé un avertissement, indiquant que l’émission doit rester un espace de respect, de bienveillance et de soutien. Marlène Schaff a déclaré dans Voici que « l’homophobie est un crime en France, punissable par la loi, tout comme la discrimination raciale ».
Après une édition précédemment marquée par une vague de haine envers Ebony l’année dernière, la nouvelle saison de la *Star Academy* a déjà été contrainte de diffuser un nouvel avertissement. « Alors que cette belle saison bat son plein, nous sommes malheureusement obligés de rappeler que la *Star Academy* doit rester un espace de respect, de bienveillance et de soutien », a indiqué un communiqué commun de TF1 et Endemol sur les réseaux sociaux, soulignant qu’ils entreprennent des démarches auprès des autorités compétentes, jugeant certains propos à l’encontre des élèves « intolérables ».
Marlène Schaff, professeure d’expression scénique, partage visiblement cet avis et a décidé de dénoncer ces comportements avec force dans *Voici*. « Je trouve ça absolument détestable, inexcusable. C’est inacceptable ! Il n’y a rien qui justifie ça », a-t-elle déclaré, rappelant que « l’homophobie est un crime en France, punissable par la loi, tout comme la discrimination raciale ».
### Pas de « surprise »
L’artiste de 43 ans, qui présentera *A Queen is born*, un seul en scène, à partir de mars 2026, est « dans une bulle » pendant la production de l’émission. Même si elle ne voyait pas nécessairement ces commentaires pendant l’aventure, elle a été déçue de les découvrir. « J’aimerais vous dire que je suis surprise. Malheureusement, je ne le suis pas parce qu’apparemment, depuis quelques années, la lâcheté de l’anonymat permet à des personnes d’être complètement décomplexées sur des jugements humains absolument à vomir », a-t-elle déclaré avec amertume.
Cependant, il existe des « millions de gens » qui envoient « des messages merveilleux ». Ces derniers « sont beaucoup plus nombreux que toutes ces raclures de bidet », a soutenu Marlène Schaff, ajoutant que ces « raclures » feraient bien « de se regarder dans le miroir et de se faire une petite remise en question de conscience ».

