25 millions d’euros investis pour de nouvelles caméras de surveillance
Les caméras sont considérées comme « les yeux de la police » et permettent d’enregistrer les incidents liés à l’insécurité, selon Bernard Quintin, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité. Le renforcement du réseau de caméras, initié dans le cadre du plan « Grandes Villes », a vu son budget initial de 20 millions d’euros porté à 25 millions d’euros pour élargir la portée et le nombre de villes concernées.
« Les caméras sont les yeux de la police, et une véritable mine d’or pour les enquêtes. Elles permettent d’enregistrer les incidents liés à l’insécurité et de collecter des données cruciales, par exemple pour lutter contre la criminalité organisée et le narcotrafic », souligne Bernard Quintin, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité.
Dans le cadre du plan « Grandes Villes », le réseau de caméras devait à l’origine bénéficier d’un budget de 20 millions d’euros. Ce montant a finalement été porté à 25 millions d’euros, afin d’élargir la portée et le nombre de villes concernées.
Ces caméras seront installées en priorité dans les « points chauds » et les zones à risque qui sont actuellement trop peu couvertes. Les fonds pourront également être utilisés pour rénover les caméras déjà en panne.
Les critères détaillés concernant l’attribution des moyens aux zones de police et la répartition qui en découlera seront établis prochainement, a indiqué le ministre dans un communiqué.

