Kim Kardashian ne croit pas aux théories du complot sans sa sœur.
Kim Kardashian a émis des doutes sur la réalité de l’alunissage du module lunaire dans un épisode de la saga de téléréalité familiale Les Kardashian. La NASA a répondu à Kim Kardashian sur X en affirmant : « Oui, @KimKardashian, nous sommes déjà allés sur la Lune…. 6 fois ! »
La déclaration de Kim Kardashian dans un épisode récent de la série de téléréalité familiale *Les Kardashian* concernant la mission Apollo 11 de 1969 a suscité de vives réactions. Elle a même provoqué une avalanche de commentaires.
L’aspirante avocate a exprimé des doutes sur la réalité de l’alunissage du module lunaire, poussant la NASA à réagir par un message sur X : « Oui, @KimKardashian, nous sommes déjà allés sur la Lune…. 6 fois ! » Sean Duffy, l’administrateur par intérim de la NASA, a ajouté : « On y retourne ! »
### Une vieille théorie complotiste
Il convient de noter que la star s’est approprié une vieille théorie du complot largement répandue. Selon sa sœur Khloé, ces doutes de l’ex-épouse de Kanye West sur l’alunissage découlent de ses propres convictions. Bien que Kim Kardashain soit convaincue que l’événement est un « fake » orchestré par la NASA, Khloé se sent mal d’avoir mis sa grande sœur dans cette situation, comme elle l’a confié à *People*.
« C’est très controversé. Et je me sens mal parce que je pense avoir énervé Kim à ce sujet, et je lui ai causé beaucoup d’ennuis ! », a-t-elle déclaré. Cependant, Khloé Kardashian n’a pas l’intention d’abandonner ses convictions de sitôt. « Je pense que mon frère et moi lui avons donné beaucoup d’informations. Je ne sais pas, ça me gêne, mais j’en mettrais ma main à couper ! »
De plus, l’animatrice du podcast *Khloé in Wonder Land* adhère à d’autres théories du complot, sur lesquelles elle préfère ne pas s’attarder pour le moment. « Je ne m’attends pas à ce que le gouvernement admette que l’alunissage était un canular, car s’il admettait que cela ne s’est pas produit… Enfin, il y a une longue liste de choses que l’on pourrait analyser », a-t-elle estimé, « et certaines sont trop effrayantes pour être évoquées en public, car on ne veut pas que les gens soient en colère contre nous ».

