Diplomatie : La Tunisie ne néglige pas sa voix sur la scène régionale et internationale.
La Tunisie confirme son ouverture sur le monde extérieur à travers ses relations bilatérales et multilatérales, ainsi que sa contribution aux grandes instances régionales et internationales, comme l’Organisation des Nations unies (ONU) et l’Union africaine (UA). Le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, a présidé la délégation tunisienne lors de la 85e session de la Commission africaine à Banjul, capitale de la Gambie, pour discuter du rapport national relatif à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples.

La Tunisie moderne continue de démontrer son ouverture envers le monde, tant dans les relations bilatérales que multilatérales, tout en participant activement à l’influence des grandes institutions régionales et internationales, en particulier l’Organisation des Nations unies (ONU) et l’Union africaine (UA).
La Presse — En effet, contrairement aux affirmations de certaines mauvaises langues, le Président de la République a toujours veillé au respect de l’indépendance des prises de décision du pays et de sa souveraineté nationale, tout en maintenant des relations de coopération positives avec les pays frères et amis, sans céder aux tentatives d’ingérence étrangère dans les affaires internes de la Tunisie.
C’est dans cet esprit que, sur instruction du Président Kaïs Saïed, le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, est en pleine activité en multipliant les rencontres avec les hauts dirigeants des autres pays et les responsables des grandes organisations à travers le monde.
Avec détermination, le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, s’est affirmé depuis plusieurs mois comme le meilleur ambassadeur de la Tunisie et le véritable représentant du Chef de l’État lors des grandes manifestations régionales et internationales.
Sa dernière activité a eu lieu la semaine dernière, lorsqu’il a présidé la délégation tunisienne chargée de présenter et de discuter à Banjul, la capitale de la Gambie, le rapport national sur la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ainsi que le Protocole africain sur les droits de la Femme en Afrique, lors de la 85e session de la Commission africaine.
Le ministre des Affaires étrangères a souligné que la participation de la Tunisie est la meilleure preuve de son attachement indéfectible aux principes universels des droits de l’homme et de son engagement à renforcer “les fondements de la paix et de la sécurité au sein du continent africain”. Il a également renouvelé l’importance de respecter la souveraineté des États, l’indépendance des décisions de chaque pays et les choix de leurs peuples, tout en réaffirmant l’engagement du pays, depuis le processus du 25 juillet 2021, à consolider les bases de la démocratie, de l’État de droit, de la bonne gouvernance, de la transparence et à garantir les droits et libertés de tous les citoyens sans discrimination.
Concernant la situation dans les territoires palestiniens, le ministre a réitéré que la cause palestinienne est considérée comme centrale pour la Tunisie et son Président, affirmant la position inébranlable en faveur de la lutte du peuple palestinien et de son droit inaliénable et imprescriptible à l’autodétermination et à l’indépendance au sein de son État totalement souverain, avec pour capitale Al Qods.
Il est également important de noter que le ministre tunisien des Affaires étrangères a récemment concentré ses efforts sur la promotion de la coopération bilatérale et multilatérale, notamment lors de la 80e session de l’Assemblée générale des Nations unies, par le biais de rencontres bilatérales, de participations à des sommets régionaux comme le Comesa, et des déplacements pour s’adresser à la communauté tunisienne à l’étranger, comme au Kenya. Il a également réaffirmé les positions de la Tunisie sur des thèmes tels que la coopération Sud-Sud.
Ainsi, la Tunisie, sous la conduite du Président Kaïs Saïed, vise à établir des relations de partenariat positives et constructives avec les pays voisins de la région, les États arabes et islamiques, les pays du continent africain, ainsi que ceux du Bassin méditerranéen issus d’Europe et d’Asie, sans oublier la volonté d’élargir ses relations avec des pays tels que la Chine, l’Iran, la Russie et ceux d’Amérique Latine.
Le principe fondamental qui demeure inchangé dans toutes ces relations internationales est celui du respect mutuel de la souveraineté et de l’option du “gagnant/gagnant”, où le respect des intérêts mutuels est une constante pour tous.
En conclusion, avec l’approche du Président de la République visant à diversifier les relations de coopération, la diplomatie suit ces directives et se trouve dans une dynamique de mouvement continu.

