France

Les cyberharceleurs de Brigitte Macron devant la justice, Masters 1000 de Paris démarre.

Dix personnes sont jugées lundi et mardi devant le tribunal correctionnel de Paris pour cyberharcèlement sexiste à l’encontre de Brigitte Macron. Deux hommes, soupçonnés d’avoir fait partie du commando du vol de huit joyaux de la couronne de France, ont été placés en garde à vue, mais les bijoux restent introuvables.


Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? Voici un récapitulatif pour vous aider à y voir plus clair et briller à la machine à café.

Dix personnes sont jugées lundi et mardi devant le tribunal correctionnel de Paris pour cyberharcèlement sexiste à l’encontre de Brigitte Macron, épouse du président français, cible d’une infox qui a circulé mondialement, prétendant qu’elle serait une femme transgenre.

Cette action judiciaire en France, accompagnée d’une plainte aux États-Unis, intervient après quatre ans de polémiques et de rumeurs qui ont continué à croître, largement diffusées par des réseaux complotistes et d’extrême droite. Huit hommes et deux femmes, âgés de 41 à 60 ans, sont soupçonnés d’avoir proféré de nombreux propos malveillants à l’égard de Brigitte Macron concernant son « genre » et sa « sexualité », assimilant sa différence d’âge avec son mari à de la « pédophilie », d’après le parquet de Paris.

Une semaine après le vol spectaculaire de huit joyaux de la couronne de France en quelques minutes au musée du Louvre, deux hommes, accusés d’avoir fait partie du commando, ont été placés en garde à vue, mais les bijoux demeurent introuvables. Les deux suspects, âgés d’une trentaine d’années et originaires de Seine-Saint-Denis, sont connus des services de police pour des vols. Selon une source proche du dossier, l’un des deux hommes a été interpellé samedi soir à l’aéroport de Roissy, alors qu’il s’apprêtait à partir pour l’Algérie.

Début du Masters 1000 de Paris

Le Masters 1000 de Paris débute ce lundi dans un tout nouvel écrin. Adieu Bercy, bienvenue à Paris La Défense Arena. Sans montée en gamme des infrastructures, « c’était la pérennité du tournoi qui était en jeu », a souligné vendredi le président de la Fédération française de tennis (FFT) Gilles Moretton. Si aucun Français n’est parvenu à sortir des qualifications, le tableau final comptera tout de même sept joueurs tricolores, après le forfait de Benjamin Bonzi annoncé dimanche. Il s’agit d’Ugo Humbert (24e), Arthur Rinderknech (27e), Giovanni Mpetshi Perricard (33e), Corentin Moutet (36e), Alexandre Müller (44e), Arthur Cazaux (61e) et Térence Atmane (68e).