Maroc

Nasser Bourita: Soutien au plan marocain d’autonomie renforcé à l’AG de l’ONU.

Le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a déclaré, vendredi à New York, que la participation marocaine à la 80è session de l’Assemblée générale de l’ONU a renforcé la dynamique internationale relative au plan d’autonomie du Maroc sur son Sahara. Il a noté que des grandes puissances et pays influents soutiennent désormais la souveraineté nationale du Royaume et le plan marocain d’autonomie.


Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a affirmé, vendredi à New York, que la participation du Maroc à la semaine de haut niveau de la 80ème session de l’Assemblée générale de l’ONU a davantage consolidé la dynamique internationale initiée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en faveur du plan d’autonomie et de la souveraineté du Maroc sur son Sahara.

« Au cours des dernières années, Sa Majesté le Roi a enclenché une dynamique de soutien à l’initiative d’autonomie, dans le cadre de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale du Royaume, comme seule base pour résoudre le différend régional autour du Sahara marocain », a déclaré M. Bourita lors d’une conférence de presse en marge de la session de l’Assemblée générale.

Ce soutien indéfectible a été renforcé par les rencontres bilatérales qui se sont déroulées en parallèle de cette Assemblée générale, a-t-il indiqué, tout en rappelant les positions de grandes puissances et de pays influents en faveur de la souveraineté nationale du Royaume ainsi que du plan marocain d’autonomie.

À ce sujet, il a mentionné la position des États-Unis « qui encourage les investissements sur tout le territoire marocain, y compris les provinces du Sud », soulignant que cela représente « un tournant que l’on pourrait qualifier de reconnaissance économique de la souveraineté marocaine sur les provinces du Sud ».

Il a également rappelé que Sa Majesté le Roi a toujours fait savoir que le Maroc ne saurait s’engager dans des partenariats susceptibles de porter atteinte à son intégrité territoriale.

« Il s’agit d’une nouvelle indication, après celles données par le Royaume-Uni, la France et d’autres pays, qui considèrent désormais que les provinces du Sud représentent une opportunité de développement, une porte d’accès au continent africain et un moyen de développer et de renforcer leur partenariat avec le Royaume du Maroc”, a conclu le ministre.