Malika Ménard démystifie l’accouchement après la naissance de sa fille.
Malika Ménard, ex-reine de beauté, a récemment accueilli sa fille Sherazade, une expérience marquée à la fois par une immense joie et des complications douloureuses lors de son accouchement. Dans une interview avec Lou Média, elle a exprimé son désaccord avec l’idée reçue selon laquelle le bonheur de tenir son bébé dans les bras efface les souvenirs des souffrances vécues durant cette période éprouvante.
Malika Ménard est désormais une maman heureuse depuis la naissance de sa fille, Sherazade, au début du mois de mai. Malgré sa joie, l’ancienne Miss France, qui a donné naissance à cet enfant avec son époux Karim, qu’elle a épousé en Espagne l’année dernière, garde en mémoire des souvenirs douloureux de son accouchement.
Dans une interview accordée à Lou Média, elle a exprimé son désaccord avec certains stéréotypes liés à la maternité, qu’elle juge nuisibles.
### « Ce n’est pas vrai »
Elle a commenté cette idée que le bonheur de tenir son bébé dans les bras pourrait faire oublier les douleurs et les complications souvent liées à l’accouchement. « Je trouve que ce n’est pas un bon service rendu aux femmes de dire : ‘C’est merveilleux, une fois le bébé là, tu oublies tout !’ », a-t-elle déclaré.
Malika Ménard a précédemment révélé à Gala qu’elle avait souffert d’une infection virale, le cytomégalovirus, vers la fin de sa grossesse, nécessitant une hospitalisation d’une semaine avec sa fille, née par césarienne cinq semaines avant le terme.
### « Ça n’a pas été oublié »
Le souvenir de son accouchement reste présent dans son esprit, même si elle parle de son amour pour sa fille avec des mots forts. « Ça a été une expérience violente, tant sur le plan mental que physique. Ce n’est pas quelque chose que j’ai oublié immédiatement après avoir eu Sherazade dans les bras », a-t-elle reconnu.
Elle a également ressenti une « culpabilité » de ne pas être à son meilleur lors de ses premiers instants avec son bébé. « Peu importe comment se déroule l’accouchement, que ce soit bien ou moins bien, il est impossible d’être au top dès le départ… C’est un bouleversement hormonal immense », a-t-elle ajouté.
### Émotions fortes
Lors de cet entretien, l’ancienne reine de beauté a été submergée par ses souvenirs d’angoisse pendant son hospitalisation. « J’avais peur de ne pas être présente, de la laisser seule », a-t-elle avoué, les larmes aux yeux. Heureusement, cette angoisse a fait place à un moment merveilleux lorsqu’elle a pu découvrir sa fille, qu’elle a qualifiée de « sublime ».

